Mairiede Gardanne, Cours de la rĂ©publique, Avenue de la libĂ©ration, Av de Nice, D6C, route de Sainte Barbe, le stock de bois est Ă  l’intersection de la route de Sainte Barbe D6C avec la route des Sauvaire et la route du Stade de Meyreuil.) 2,5 km. 11h30 / 11h40 ArrivĂ©e au stock de bois. 12h / 12h30 Retour Ă  Gardanne. En voiture ou Ă  Divertissement Affaire conclue remonte le temps FRANCE 2 - 25 janvier 2022 Divertissement 2 h 25 min 2022 Sophie Davant et toute l'Ă©quipe d'Affaire conclue» vont remonter le temps grĂące Ă  des objets incroyables ! Lors de cette soirĂ©e, chacun d'entre eux sera expertisĂ© parallĂšlement par deux commissaires priseurs Prochaines diffusions - Affaire conclue remonte le temps Mardi 25 Janvier - 21h10 Offre Canal+ Le Parisien VOD
Lémission Affaire conclue revient ce mardi 25 janvier 2022, à 21h10, avec un prime spécial. Intitulé Affaire conclue remonte le temps, le programme va proposer douze objets extraordinaires parmi lesquels une guitare ayant appartenu à un grand artiste. De quoi intéresser les nombreux fans de l'émission et du chanteur.
Alors qu'un numĂ©ro spĂ©cial d'Affaire conclue sera diffusĂ© mardi 25 janvier sur France 2, Sophie Davant a dĂ©voilĂ© les dessous de ce prime exceptionnel qui va faire voyager les tĂ©lĂ©spectateurs dans le dans le temps annoncĂ© dans Affaire conclue. Alors que l'Ă©mission cartonne chaque jour sur France 2 avec des enchĂšres toujours surprenantes et des objets rares en pagaille, voilĂ  qu'elle se dĂ©cline une nouvelle fois dans un prime spĂ©cial, animĂ© par Sophie Davant. AccompagnĂ©e de ses acolytes favoris, Yves Cosqueric, Delphine Fremaux lejeune, Harold Hessel et Enora Alix, l'animatrice de France TĂ©lĂ©visions a dĂ©voilĂ© les dessous de cette spĂ©ciale, qui emportera les tĂ©lĂ©spectateurs dans plusieurs Ă©poques diffĂ©rentes, et ce, Ă  travers cinq dĂ©cors minutieusement sĂ©lectionnĂ©s par les Ă©quipes."Toute l'Ă©quipe d'affaireconclue vous embarque dans un voyage dans le temps, le mardi 25 janvier sur france2, Ă  partir de 21H05 !", peut-on ainsi lire en lĂ©gende de plusieurs clichĂ©s de l'Ă©quipe. Parmi les dĂ©cors, un salon haussmannien du Second Empire, un bar des annĂ©es 80, un living room des annĂ©es 70, un cabinet de curiositĂ© du dĂ©but du XXĂšme siĂšcle et un atelier d'artiste. Et ce que l'on peut dire, c'est qu'aucun dĂ©tail n'a Ă©tĂ© laissĂ© au hasard, entre dĂ©tails cĂŽtĂ© dĂ©coration, mais aussi costumes, oĂč Sophie Davant et son comparses ont revĂȘtu des tenues associĂ©es Ă  chaque dĂ©cor. Ainsi, l'animatrice apparaĂźtra en robe corsetĂ©e, avec un blouson rose lamĂ©, ou encore en salopette et Julien Cohen a-t-il quittĂ© Affaire conclue ?Une Ă©mission trĂšs attendue malgrĂ© il y a quelques mois le dĂ©part de Julien Cohen, brocanteur adorĂ© des tĂ©lĂ©spectateurs de France 2. C'est en dĂ©cembre dernier que celui-ci a annoncĂ© son intention de quitter Affaire conclue aprĂšs quatre ans d'Ă©missions. "J'ai tournĂ© 1557 Ă©missions, j'ai vu 7 204 personnes me prĂ©sentant des objets, j'en ai achetĂ© 1 813, j'ai participĂ© Ă  330 jours de tournage en quatre ans et demi, Ă  raison de trois puis quatre et jusqu'Ă  six Ă©missions par jour. J'ai vĂ©cu une aventure extraordinaire", avait-il ainsi confiĂ©, prĂ©cisant vouloir se consacrer dĂ©sormais Ă  ses maisons de brocanteurs. Inscrivez-vous Ă  la Newsletter de pour recevoir gratuitement les derniĂšres actualitĂ©s © MPP 2/12 - Sophie Davant Sophie Davant animera mardi 25 janvier un prime d'Affaire conclue sur France 2 © COADIC GUIREC 3/12 - Sophie Davant Sophie Davant animera mardi 25 janvier un prime d'Affaire conclue sur France 2 © Tiziano Da Silva 4/12 - Sophie Davant Sophie Davant animera mardi 25 janvier un prime d'Affaire conclue sur France 2 © CYRIL MOREAU 5/12 - Sophie Davant Sophie Davant animera mardi 25 janvier un prime d'Affaire conclue sur France 2 © Tiziano Da Silva 6/12 - Sophie Davant Sophie Davant animera mardi 25 janvier un prime d'Affaire conclue sur France 2 © COADIC GUIREC 7/12 - Sophie Davant Sophie Davant animera mardi 25 janvier un prime d'Affaire conclue sur France 2 © CEDRIC PERRIN 8/12 - Sophie Davant Sophie Davant animera mardi 25 janvier un prime d'Affaire conclue sur France 2 © Giancarlo Gorassini 9/12 - Sophie Davant Sophie Davant animera mardi 25 janvier un prime d'Affaire conclue sur France 2 © CEDRIC PERRIN 10/12 - Sophie Davant Sophie Davant animera mardi 25 janvier un prime d'Affaire conclue sur France 2 © Giancarlo Gorassini 11/12 - Sophie Davant Sophie Davant animera mardi 25 janvier un prime d'Affaire conclue sur France 2 © Agence 12/12 - Sophie Davant Sophie Davant animera mardi 25 janvier un prime d'Affaire conclue sur France 2
AffairejugĂ©e Date du jugement du 31 janvier au 18 fĂ©vrier 2022 L' Une reconstitution est organisĂ©e durant la soirĂ©e et la nuit du 24 septembre au 25 septembre 2018, dans le secteur de la salle des fĂȘtes du Pont-de-Beauvoisin (IsĂšre), au domicile du suspect et de sa mĂšre (Ă  Domessin), ainsi que sur le secteur la zone commerciale du Pont de Beauvoisin (Savoie)
L’information est de taille. Le curieux jugement du tribunal civil d’Abidjan en date du 2 juin 2022 condamnant uniquement Leigh Day & Co Ă  ne verser que la somme de 3 milliards 613 millions 868 mille 199 F CFA au Reandvidet-ci dans le montant dĂ©tournĂ©, a fait bondir les victimes des dĂ©chets toxiques. Et pour cause, le curieux jugement du Tribunal d’Abidjan qui passe devant la porte de la SGCI. C’est qu’au terme d’un audit judiciaire ordonnĂ© par le Tribunal d’Abidjan le 15 juillet 2021 et dont le rapport final y relatif a Ă©tĂ© dĂ©posĂ© audit Tribunal le 18 janvier 2022, vu les rĂ©sultats de celui-ci mettant le dĂ©tournement de leurs fonds d’indemnisation d’un montant de 9 milliards 5 millions 419 mille 619 F CFA Ă  la charge de la SGCI, les victimes ont sollicitĂ© dudit Tribunal, la condamnation de cette banque Ă  reverser au Renadvidet-Ci, leur association, cette somme et ce, avec les intĂ©rĂȘts de retard depuis le 24 septembre 2009, date d’ouverture de leur compte dans cette banque au jour de la signification de cette dĂ©cision Ă  celle-ci. Aussi, ont-elle sollicitĂ© la condamnation solidaire de la SGCI et du Cabinet Leigh Day & Co Ă  leur payer, la somme de 18,750 milliards de F CFA qui devait ĂȘtre due aux 25 mille victimes non indemnisĂ©es sur les indemnisables pour toutes causes de prĂ©judices confondus du fait de ce dĂ©tournement. Curieusement, le Tribunal d’Abidjan dans sa dĂ©cision de juin 2022 a fait abstraction de la SGCI en condamnant seulement le cabinet d’avocat de la sociĂ©tĂ© Trafigura Leigh Day basĂ© Ă  Londres Ă  verser au Renadvidet-Ci, le solde rĂ©siduel de leur compte logĂ© Ă  la SGCI d’un montant de 3 milliards 613 millions 868 mille 199 F CFA. Un fonds faisant partie du montant total 22 milliards 500 millions FCFA de leur indemnisation dĂ©tournĂ©e Ă  la SGCI et cela, sans aucun intĂ©rĂȘt de droit et dommage et intĂ©rĂȘt. La SGCI ne se sentant directement pas concernĂ©e par cette dĂ©cision entend s’opposer Ă  l’exĂ©cution de celle-ci en se fondant sur le prĂ©tendu solde de 0 F CFA» indiquĂ© par elle sur les relevĂ©s bancaires qu’elle a communiquĂ©s Ă  l’Expert dans le cadre de l’audit menĂ©. Une action correctionnelle annoncĂ©e par les victimes Ă  Paris contre monsieur Bernard Labaden, ex directeur gĂ©nĂ©ral de la SGCI et devant le tribunal correctionnel d’Abidjan contre la SGCI pour faux et usage de faux commis dans des documents administratifs, faux en Ă©criture privĂ©e de banque, abus de confiance portant sur des numĂ©raires, blanchiment de capitaux et financement de terrorisme. Des organisations internationales de dĂ©fense des droits de l’Homme sont saisies Ă  Paris par les victimes des dĂ©chets toxiques d’Abidjan Ă  cette fin, pour se voire reverser les 9 milliards cinq millions quatre cent dix-neuf mille six cent vingt-neuf 9. 005. 419. 629 F CFA des victimes, membres du Reandvidet-Ci dĂ©tournĂ©s. DĂ©couvrez avec l’histoire de l’étrange fonds bien trouvable dans les tiroirs de la SGCI en CĂŽte d’Ivoire. Suivez ! Voici 22, 5 milliard FCFA » Suite au dĂ©versement des dĂ©chets toxiques Ă  Abidjan et ses banlieues, par le bateau Probo-Koala affrĂ©tĂ© par la SociĂ©tĂ© Trafigura au Port Autonome d’Abidjan dans la nuit du 19 au 20 aoĂ»t 2006, plusieurs personnes ont connu des problĂšmes de santĂ©, bien d’autres en sont dĂ©cĂ©dĂ©es et beaucoup d’autres encore continuent de dĂ©cĂ©der pour avoir inhalĂ© lesdits produits. Face Ă  ce scandale humanitaire, la SociĂ©tĂ© TRAFIGURA a dĂ» verser une somme de 100 milliards de F CFA Ă  l’Etat de CĂŽte d’Ivoire en vue, en autres, d’indemniser les victimes par lui recensĂ©es. Courant novembre 2006, un cabinet d’Avocats anglais basĂ© Ă  Londres dĂ©nommĂ© LEIGH DAY & CO a Ă©tĂ© individuellement constituĂ© par d’autres victimes des dĂ©chets toxiques pour engager une procĂ©dure judiciaire contre la SociĂ©tĂ© TRAFIGURA devant les Juridictions de Londres. L’objet de cette procĂ©dure Ă©tait d’obtenir la condamnation de cette SociĂ©tĂ© Ă  leur payer une indemnitĂ© pour les divers prĂ©judices qu’elles ont subis et ce, pour avoir Ă©tĂ© exposĂ©es aux Ă©manations dĂ©gagĂ©es par les dĂ©chets pĂ©troliers du Probo-Koala. En aoĂ»t 2009, sur les plaintes individuelles dĂ©posĂ©es par Leigh Day devant la Justice anglaise, d’entre-elles ont Ă©tĂ© validĂ©es par celle-ci. Entre novembre 2006 et aoĂ»t 2009, toutes les victimes parties dans cette procĂ©dure ont donnĂ© un mandat exprĂšs audit Cabinet, Ă  l’effet de les reprĂ©senter dans celle-ci devant les Juridictions Britanniques. A la veille du procĂšs prĂ©vu pour se tenir en octobre 2009 devant la Haute Cour de Justice de Queens, un accord transactionnel Ă©tait intervenu entre Leigh Day et la SociĂ©tĂ© Trafigura. Ainsi, dans une lettre datĂ©e du 8 septembre 2009 adressĂ©e Ă  chacun de ses clients, victimes des dĂ©chets toxiques, LEIGH DAY a exposĂ© aux victimes dont les dossiers d’indemnisation ont Ă©tĂ© validĂ©s par la justice anglaise, le contenu de l’offre de Trafigura, Ă  savoir que cette SociĂ©tĂ© proposait de payer Ă  chacune d’elles, la somme de 750. 000 F CFA. Eu Ă©gard au mandat individuel donnĂ© par chacune des victimes Ă  Leigh Day, les juristes de ce Cabinet ont rencontrĂ© individuellement chacune d’elles pour lui donner l’opportunitĂ© de poser toutes les questions nĂ©cessaires avant d’accepter ou de refuser cette offre transactionnelle. Car, le refus de l’une d’entre-elles de cette offre emportait continuation de sa procĂ©dure contre cette SociĂ©tĂ© devant les Juridictions de Londres. Suite Ă  l’accord unanime donnĂ© par les victimes Ă  cette offre transactionnelle, Trafigura a fait transfĂ©rer le 24 septembre 2009, sur le compte des victimes ouvert par Leigh Day dans les livres de la SGCI et dĂ©nommĂ© indemnisations des particuliers», la somme de 22 milliards 500 millions de F CFA reprĂ©sentant l’indemnisation globale des victimes. Suite audit transfert, Leigh Day a Ă©tabli un chronogramme de distribution de ces fonds se prĂ©sentant comme suit du 12 au 24 octobre 2009, distribution de codes pin aux victimes. Ces codes pin sont des numĂ©ros secrets octroyĂ©s Ă  chacune des victimes par Leigh Day. Et du 2 au 14 novembre 2009, distribution de leur carte bancaire SGCI, pour permettre Ă  chacune d’elles de retirer en toute sĂ©curitĂ© son indemnisation. dĂ©but de la forfaiture Au moment oĂč Leigh Day s’organisait pour procĂ©der Ă  leur indemnisation, une association sortie de nulle part, une association dĂ©nommĂ©e Coordination Nationale des Victimes des DĂ©chets Toxiques de CĂŽte d’Ivoire dite CNDVT-CI nĂ©e dans le courant du mois de cette indemnisation, soit le 1er septembre 2009, a fait intrusion dans cette procĂ©dure, pour demander que la totalitĂ© des milliards de F CFA soit mise Ă  sa disposition afin d’indemniser les victimes desquelles, elle a prĂ©tendu avoir reçu mandat. Il s’en suit alors, une odyssĂ©e juridico-judiciaire. A la suite d’une mobilisation massive des victimes, le 6 novembre 2009, devant le palais de justice d’Abidjan-Plateau pour crier Ă  l’imposture de cette Coordination fictive, celle-ci sera dĂ©boutĂ©e pour dĂ©faut de capacitĂ© juridique et Leigh Day curieusement dĂ©clarĂ© mal fondĂ© en sa demande de procĂ©der Ă  l’indemnisation de ces victimes. Suite Ă  l’appel interjetĂ© par les deux parties, alors que les victimes s’attendaient Ă  une dĂ©cision de la Cour d’Appel d’Abidjan prĂ©vue pour ĂȘtre rendue le 8 fĂ©vrier 2010, contre toute attente, cette dĂ©cision a Ă©tĂ© rendue le 22 janvier 2010. Elle a fait droit Ă  la requĂȘte de cette association de voir transfĂ©rer les milliards de F CFA sur son compte et ordonnĂ© Ă  la SGCI de lui remettre la liste des indemnisables sous astreinte comminatoire d’un million de F CFA par jour de retard d’exĂ©cution. Le 26 janvier 2010, Leigh Day s’est pourvu en cassation pour le compte des victimes et le mĂȘme jour a sollicitĂ© une ordonnance de suspension Ă  l’exĂ©cution de cette dĂ©cision de la Cour d’Appel. Le 28 janvier 2010, l’ex Cour SuprĂȘme, l’actuelle Cour de Cassation a rendu ladite ordonnance et autorisĂ© Leigh Day Ă  assigner la Cndvt et la SGBCI qui deviendra SGCI en rĂ©fĂ©rĂ© d’heure Ă  heure, par-devant lui, pour l’audience du 8 janvier 2010 Ă  11 heures. C’est en cet Ă©tat de cette procĂ©dure, que Leigh Day a violĂ© le mandat individuel de chacune des victimes en radiant de façon unilatĂ©rale leur pourvoi en cassation et en formant Ă  leur insu, le 11 fĂ©vrier 2010, un protocole d’accord et de rĂšglement amiable et transactionnel avec cette Coordination fictive, Ă  l’effet de lui confier ledit processus d’indemnisation. Mais, pour Ă©viter un Ă©ventuel dĂ©tournement de ces fonds, ce protocole prĂ©voyait du 1er au 21 mars 2010, une remise conjointe de 23 mille chĂšques Ă  23 mille victimes sur les indemnisables par le Cabinet d’Avocats ivoiriens Klemet-Sawadogo-Kouadio dit KSK, Cabinet d’Avocats postulant du Cabinet Leigh Day et la CNDVT-CI. L’indemnisation des victimes restantes devait ĂȘtre transfĂ©rĂ©e par la SGCI dans un compte que devait ouvrir cette Coordination dans les mĂȘmes livres de cette banque. A charge pour la SGBCI d’indemniser exclusivement toutes les victimes en vĂ©rifiant prĂ©alablement tous leurs documents d’indemnisation dĂ©tenus par elle pour les besoins de cette indemnisation. A cet effet, le protocole sus indiquĂ© Ă  la page 17 prĂ©voit ce qui suit A la fin de chaque journĂ©e de vĂ©rification, Leigh Day transmettra une liste de personnes validĂ©es Ă  la CNDVT et au PrĂ©sident du comitĂ© d’arbitrage. Cette liste sera alors signĂ©e par Leigh Day, la CNDVT et le PrĂ©sident du comitĂ© d’arbitrage, Ă©tant prĂ©cisĂ© que seules les signatures de la CNDVT et du PrĂ©sident du comitĂ© d’arbitrage, selon les cas, vaudront ordre de paiement. Cette liste sera ensuite transmise Ă  la SGBCI, accompagnĂ©e d’un fichier PDF contenant toutes les informations utiles aux vĂ©rifications de la SGBCI prĂ©alables au paiement des victimes par ses soins ». A la page 18, 2Ăšme paragraphe, ce mĂȘme protocole stipule ce qui suit A l’issue de la derniĂšre pĂ©riode de paiement par la banque, la SGBCI transfĂšrera, au crĂ©dit du compte SGBCI de la CNDVT, le solde rĂ©siduel du compte n°00. 111. 111. 532. ouvert dans ses livres sous l’intitulĂ© indemnisation des particuliers ». Attendu que ce protocole prĂ©voyait aussi, Ă  la mĂȘme page 17, qu’à l’issue de la derniĂšre pĂ©riode de paiement des victimes, soit le 21 mars 2010, si des victimes n’étaient payĂ©es, soit pour des raisons organisationnelles, soit en raison de leur absence, une pĂ©riode maximum de deux semaines leur serait accordĂ©e Ă  cette fin, soit du 21 mars 2010 au 05 avril 2010. Suite Ă  l’arrĂȘt brusque et dĂ©finitif de ce processus Ă  la date du 19 mars 2010, soit deux jours avant l’arrĂȘt conventionnel de principe, 25 mille victimes non indemnisĂ©es abandonnĂ©es Ă  leur triste sort par leur mandataire, le Cabinet Leigh Day & Co, se sont rĂ©unies Ă  la mairie d’AdjamĂ© dans le cadre d’une assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale constitutive d’une association et Ă©lective de son bureau exĂ©cutif. Au terme de cette assemblĂ©e GĂ©nĂ©rale naissait le RĂ©seau National Pour la DĂ©fense des Droits des Victimes Des DĂ©chets Toxiques de CĂŽte d’Ivoire dite RENADVIDET-CI. A la tĂȘte de cette association a Ă©tĂ© portĂ© monsieur Koffi Hanon Charles, Ăšs qualitĂ© de PrĂ©sident et mandat lui a Ă©tĂ© donnĂ© par ses pairs, Ă  l’effet de poursuivre Gohourou Claude et autres pour faux et usage de faux commis dans des documents administratifs et dĂ©tournement de leur indemnisation. Et Leigh Day & CO en violation de leur mandat individuel pour avoir confiĂ©, sans leur consentement, leur indemnisation Ă  une association inconnue d’elles. Bien avant la constitution de cette association, ces 25 mille victimes avaient saisi le 16 mars 2010, la Juridiction PrĂ©sidentielle du Tribunal de PremiĂšre Instance du Plateau, d’une ordonnance de sĂ©questre portant sur leurs fonds d’indemnisation d’un montant de milliards de F CFA dans le montant global des milliards de F CFA. Cette ordonnance leur avait Ă©tĂ© dĂ©livrĂ©e par ledit Tribunal le 19 mars 2010, c’est-Ă -dire, Ă  la mĂȘme date de l’arrĂȘt brusque et dĂ©finitif de ce processus d’indemnisation Ă  l’initiative du Cabinet KSK pour cause de malversations constatĂ©es par lui dans la gestion desdits fonds Ă  la SGCI. Petits calculs avec la SGCI Suite Ă  la signification de cette ordonnance de sĂ©questre Ă  la SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale de Banque en CĂŽte d’Ivoire SGBCI actuellement dĂ©nommĂ©e SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale CĂŽte d’Ivoire SGCI, l’accusĂ© de rĂ©ception de cette banque portait la mention suivante Nous portons Ă  votre connaissance, sous rĂ©serve des opĂ©rations de virement en cours, que nous avons payĂ© Ă  ce jour victimes et que le solde est largement en deçà du montant indiquĂ© ». Qu’en s’en tenant Ă  cette dĂ©claration dĂ©pourvue de toute Ă©quivoque, la SGCI affirmait, Ă  la date de l’arrĂȘt brusque et dĂ©finitif de ce processus, dĂ©tenir l’indemnisation de victimes, soit – 12. 000. En transfĂ©rant le 24 mars 2010, en violation de leur ordonnance de sĂ©questre et des dispositions du protocole prĂ©citĂ©, l’indemnisation de victimes dans un compte ouvert frauduleusement par la CNDVT-CI Ă  ACCESS BANK devenue AFRILAND FIRST BANK, il devait rester Ă  ce jour, dans les livres de la SGCI, l’indemnisation d’au moins 11 mille victimes. Par ailleurs, concomitamment Ă  cette action civile, les victimes initiaient une procĂ©dure pĂ©nale devant le Procureur de la RĂ©publique contre la SGBCI, GOHOUROU Claude et autres portant sur le dĂ©tournement des milliards de F CFA. Ainsi, pour Ă©viter que cette enquĂȘte ne soit menĂ©e dans son institution, la SGCI a dĂ» transfĂ©rer sur le compte de la CNDVT-CI ouvert frauduleusement Ă  Access Bank CĂŽte d’Ivoire devenue Afriland First Bank CĂŽte d’Ivoire, la somme de milliards de F CFA. A l’occasion de ce transfert, 157 milliards 648 mille F CFA ont disparu Ă  la SGCI si bien que c’est que c’est 4,658 milliards de F CFA qui ont Ă©tĂ© rĂ©ceptionnĂ©s sur le compte de cette association et dĂ©tournĂ©e par elle et autres, et ce, au terme de l’arrĂȘt correctionnel contradictoire dĂ©finitif N°645/16 de la Cour d’Appel d’Abidjan confirmĂ© par l’arrĂȘt correctionnel contradictoire N°145 rendu le 18 mai 2022 par la mĂȘme Cour d’Appel d’Abidjan saisie par la Cour de Cassation, Ă  l’effet de statuer Ă  nouveau sur les condamnations pĂ©nales prononcĂ©es par le Premier arrĂȘt prĂ©citĂ©. Ce transfert de fonds a Ă©tĂ© fait Ă  la requĂȘte de la CNDVT-CI au moyen d’un exploit de Commissaire de Justice dĂ©nommĂ© Notification-Commandement. A la page 19 du rapport d’enquĂȘte de la Cellule Nationale du Traitement des Informations FinanciĂšres de CĂŽte d’Ivoire CENTIF-CI, MaĂźtre SEKA Money Lucien, Commissaire de Justice qui serait l’auteur de cet exploit en a dĂ©niĂ© la paternitĂ©. Aussi, Ă©tonnant que cela puisse paraĂźtre, la SGCI a affirmĂ©, lors de l’information judiciaire ouverte par le Procureur de la RĂ©publique au 1er Cabinet d’Instruction du Plateau courant annĂ©e 2012, avoir indemnisĂ© du 1er au 21 mars 2010, 23 mille victimes et transfĂ©rĂ© l’indemnisation des victimes restantes Ă  Access Bank devenue Afriland First Bank en s’appuyant sur l’article 7 d’un prĂ©tendu avenant conclu le 06 mars 2010 par monsieur Bernard Labaden, au moment des faits, Directeur GĂ©nĂ©ral et Administrateur de la SGBCI, la CNDVT-CI et le Cabinet KSK. Qu’en consĂ©quence, elle a fait valoir qu’elle ne disposait plus d’aucune somme relative Ă  cette indemnisation. En effet, cet article 7 prĂ©voit que Accord des parties sur le processus de paiement par la SGBCI. Par l’avenant, instruction ferme est donnĂ©e Ă  la SGBCI de procĂ©der au transfert du montant Ă©quivalent Ă  l’indemnisation de six mille six cent vingt-quatre victimes Ă  la CNDVT afin de poursuivre le processus d’indemnisation conformĂ©ment Ă  l’article 6 ci-dessus ». Article 6 Accord des parties sur les objectifs de la supervision du processus de vĂ©rification et de paiement par la CNDVT ; Par l’avenant, les parties conviennent que la supervision par le facilitateur du processus de vĂ©rification et de paiement par la CNDVT durera le temps nĂ©cessaire pour lui permettre de constater que les opĂ©rations se dĂ©roulent normalement afin d’atteindre trois mille six cent soixante-deux 3. 662 chĂšques ont Ă©tĂ© Ă©mis en faveur des victimes vĂ©rifiĂ©es. Les photocopies des chĂšques Ă©tablissant que ce rĂ©sultat seront remises Ă  LEIGH DAY. A l’effet de ce processus, la CNDVT s’oblige Ă  Ă©tablir un calendrier de vĂ©rification et de paiement permettant de traiter de façon Ă©galitaire toutes les victimes non encore vĂ©rifiĂ©es qui fourniront, Ă  l’effet de cette vĂ©rification, les documents exigĂ©s dans le cadre de la procĂ©dure conjointe de vĂ©rification et de paiement publiĂ©s par les parties dans le journal FraternitĂ© Matin. Ce calendrier sera communiquĂ© Ă  LEIGH DAY pour information ». Il s’ensuit, que l’avenant citĂ© plus haut parle de transfert de fonds sans indiquer le lieu de ce transfert dĂ©jĂ  prĂ©cisĂ© dans le protocole, Ă  savoir au crĂ©dit du compte SGBCI de la CNDVT donc Ă  la SGBCI et non ailleurs pas mĂȘme Ă  ACCESS BANK. Aussi, est-il bon de faire observer que, la dĂ©lĂ©gation de signature donnĂ©e par Leigh Day Ă  son reprĂ©sentant local, le Cabinet KSK n’avait seulement pour objet que de conclure le protocole du 11 fĂ©vrier 2010 et non un avenant audit protocole tel que conclu par monsieur Bernard Labaden, au moment des faits, Directeur GĂ©nĂ©ral de la SGCI, la CNDVT-CI et le Cabinet KSK. De façon curieuse, la SGBCI n’a pas Ă©tĂ© inculpĂ©e au terme de cette information judiciaire dĂ©butĂ©e en fĂ©vrier 2012 et pris fin en 2014 au moment oĂč monsieur AHOUSSOU Kouadio Jeannot Ă©tait Premier Ministre et Ministre de la Justice », s’insurge Charles Koffi, prĂ©sident du Renavited-ci. Aussi, convient-il de faire remarquer, qu’à la page 20 dudit protocole, il est indiquĂ© que le Cabinet d’Avocats Ahoussou, Konan et AssociĂ©s oĂč ledit Premier Ministre exerçait Ăšs qualitĂ© d’Avocat a Ă©tĂ© l’Avocat de la SGBCI dans cette affaire. Charles Koffi et les victimes des dĂ©chets toxiques d’abidjan Monsieur Charles KOFFI, pour avoir dĂ©noncĂ© son influence sur le Magistrat Instructeur lors d’une manifestation pacifique organisĂ©e par le RENADVIDET-CI le 06 juin 2012 devant le palais de Justice d’Abidjan-Plateau, a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© sur plainte dudit Premier Ministre et des Institutions de la RĂ©publique et condamnĂ© le 08 juin 2012 curieusement pour dĂ©nonciation calomnieuse et atteinte Ă  atteinte Ă  l’ordre public par le Juge d’Instruction du 5Ăšme Cabinet d’Instruction du Plateau nommĂ© KonĂ© Brama qui n’avait, seulement que compĂ©tence pour juger les infractions dans les sections du Tribunal Ă©tablies Ă  l’intĂ©rieur du pays. Sorti de prison le 8 dĂ©cembre 2012, il gagne son procĂšs contre ledit Premier Ministre et les Institutions de la RĂ©publique le 11 juin 2014 devant la 3Ăšme Chambre Correctionnelle de la Cour d’Appel du Plateau, donc renvoyĂ© des fins de poursuite concernant les deux infractions sus visĂ©es. Mais, les victimes, membres du RENADVIDET-CI, convaincues de la culpabilitĂ© manifeste de la SGBCI dans le dĂ©tournement de leur indemnisation ne lĂącheront pas prise. Plusieurs procĂ©dures ont Ă©tĂ© initiĂ©es par elles contre cette banque française qui, selon elles, bĂ©nĂ©ficie de la protection des autoritĂ©s politiques et judiciaires ivoiriennes, partant, officieusement d’une immunitĂ© d’exĂ©cution Ă  l’instar des autres banques sises sur le territoire national. Toute chose qui les encourage Ă  faire tout et n’importe quoi en toute impunitĂ©. Finalement, par exploit de Commissaire de justice en date du 28 mars 2018, elles ont saisi le Juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du Tribunal de PremiĂšre Instance du Plateau, Ă  l’effet de voir condamner la SGCI Ă  Leur produire tous les mouvements effectuĂ©s sur le compte n° ouvert dans ses livres de la SGBCI pour les victimes dont ils font partie Ă  compter de la date du 24 septembre 2009, date du transfert par TRAFIGURA de leur indemnisation sur ledit compte jusqu’au 23 Mars 2010, date de la signification de leur ordonnance de sĂ©questre Ă  la SGBCI
 », Leur communiquer l’identitĂ© complĂšte de tous les bĂ©nĂ©ficiaires des montants figurants sur les relevĂ©s de comptes de la SGBCI ». ..de rendre compte en cas de difficultĂ©s au PrĂ©sident du Tribunal de cĂ©ans»  Leur requĂȘte a Ă©tĂ© favorablement accueillie par le Juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du Tribunal du Plateau par ordonnance N°1979/18 en date du 09 avril 2018. Cette dĂ©cision a Ă©tĂ© signifiĂ©e par elles Ă  la SGCI le 30 avril 2018 ; Non seulement, elle ne l’a pas exĂ©cutĂ©e, cependant, elle n’a pas non plus interjetĂ© appel de celle-ci. Face Ă  sa rĂ©sistance abusive et injustifiĂ©e Ă  exĂ©cuter les injonctions dudit Juge, par exploit de Commissaire de Justice en date du 7 juin 2018, ces victimes ont saisi Ă  nouveau le Juge des rĂ©fĂ©rĂ©s, Ă  l’effet de faire assortir ladite exĂ©cution d’une astreinte comminatoire de 30 millions de F CFA par jour de retard d’exĂ©cution. Cette deuxiĂšme ordonnance de rĂ©fĂ©rĂ© N°3340/2018, RGN°5662/2018 a Ă©tĂ© signifiĂ©e par elles Ă  la SGCI, le 4 juillet 2018. Le jour suivant cette signification, soit le 5 juillet 2018, par exploit de Commissaire de Justice nommĂ© MaĂźtre DadiĂ© Digra Sylvain, la SGCI leur a communiquĂ© des documents bancaires supposĂ©s appartenir aux victimes par elles indemnisĂ©es. Pour Ă©viter toute discussion sur le nombre de documents par elle communiquĂ©s, les victimes ont requis MaĂźtre DouayĂ©rĂ© BeugrĂ© Jean-Sylvestre, Commissaire de Justice, Ă  l’effet d’examiner lesdits documents et leur donner le nombre de victimes indemnisĂ©es par cette banque. Au terme de cet examen, il est ressorti le nombre de victimes supposĂ©es avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©es par elle, sur les 23 mille qu’elle avait dĂ©clarĂ© avoir indemnisĂ©es lors de l’information judiciaire relative au dĂ©tournement des milliards de F CFA qu’elle a irrĂ©guliĂšrement transfĂ©rĂ©s Ă  Access Bank CĂŽte d’Ivoire devenue Afriland First Bank CĂŽte d’Ivoire. Au vu de ces rĂ©sultats, ces victimes, par le biais de l’un de leurs conseils, MaĂźtre Dogo Koudou Martin, ont adressĂ© le 4 novembre 2019, un courrier Ă  la SGCI et Ă  son conseil, le Cabinet Abbe-Dogue-Yao et AssociĂ©s, Ă  l’effet d’interpeller cette banque sur l’exĂ©cution partielle qu’elle a faite de l’impĂ©rium du Juge des rĂ©fĂ©rĂ©s. Toute chose qui, selon elles, Ă©quivaut en droit, Ă  un dĂ©faut d’exĂ©cution. Suite Ă  cette interpellation, dans le but de stopper les astreintes comminatoires de 30 millions de F CFA qui lui ont Ă©tĂ© judiciairement imposĂ©es par jour de retard d’exĂ©cution, elle s’est empressĂ©e de faire appel non pas de la PremiĂšre ordonnance de rĂ©fĂ©rĂ© lui imposant des obligations de faire mais plutĂŽt de la seconde assortissant celles-ci d’astreintes comminatoires et pour cause la premiĂšre ordonnance de rĂ©fĂ©rĂ© a acquis autoritĂ© de la chose jugĂ©e entre ces parties, ce qui oblige dĂ©finitivement la SGCI Ă  leur communiquer au moins les documents bancaires des 23 mille victimes des dĂ©chets toxiques qu’elle a dĂ©clarĂ© avoir indemnisĂ©es du 1er au 21 mars 2010, Ă  la date de l’arrĂȘt dĂ©finitif dudit processus intervenu le 19 mars 2010. Le 19 juillet 2019, par arrĂȘt Civil N°464, la Cour d’Appel d’Abidjan a confirmĂ© ses obligations de faire en diminuant dans sa sagesse, le montant des astreintes comminatoires Ă  10 millions de F CFA par jour de retard d’exĂ©cution. Suite Ă  la signification de cette autre dĂ©cision Ă  la SGCI le 11 septembre 2019, elle avait, pour tromper la religion de la Cour, avant ladite signification, communiquĂ© le 2 septembre 2019, des documents bancaires aux victimes et en mĂȘme temps s’est pourvue en cassation contre l’arrĂȘt prĂ©citĂ©. Pour mettre un terme Ă  toute discussion puĂ©rile sur le nombre des victimes qu’elle a effectivement indemnisĂ©es, Monsieur Charles KOFFI, PrĂ©sident du RENADVIDET-CI, a commis le 5 octobre 2019, un Expert IndĂ©pendant nommĂ© Mady Mady, Expert-Comptable du Cabinet FIDEXCA, Ă  l’effet d’expertiser cette communication de piĂšces. Il ressort de l’examen desdites piĂšces en guise de conclusions ce qui suit L’absence de l’identitĂ© des bĂ©nĂ©ficiaires des chĂšques payĂ©s par la SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale de Banque en CĂŽte d’Ivoire SGBCI sur les relevĂ©s bancaires et l’absence de certains numĂ©ros de chĂšques n’ont pas permis le traitement efficient des donnĂ©es mises Ă  la disposition du Collectif des victimes des dĂ©chets toxiques. Pour la manifestation de la vĂ©ritĂ©, il serait judicieux de demander au Juge de commettre une expertise judiciaire afin d’apporter des rĂ©ponses Ă  des interrogations. Pour mĂ©moire, nous rappelons que le nombre de victimes indemnisĂ©es est de et non Ce rapport souligne aussi que En outre, un montant de 4. 658. 000. 000 F CFA a Ă©tĂ© versĂ© Ă  la CNDVT-CI en date du 24 mars 2010 pour l’indemnisation des victimes des dĂ©chets toxiques ». Il convient de faire noter, qu’en exĂ©cution partielle de la deuxiĂšme ordonnance de rĂ©fĂ©rĂ© N° 3340/18 en date du 04 juillet 2018 et de l’arrĂȘt Civil du 19 juillet 2019, les relevĂ©s de compte communiquĂ©s par la SGCI aux victimes affichent Ă  la date du 31 mars 2010, un solde rĂ©siduel de quatre milliards deux cent quatre-vingt-quatorze millions cinq cent sept mille trois cent vingt et un 4. 294. 507. 321 F CFA. Suite Ă  la communication, par les victimes Ă  la SGCI, des rĂ©sultats de ce rapport et sa contestation de ceux-ci, elles ont, le 3 juillet 2019, attrait le Cabinet LEIGH DAY & CO, leur ex mandataire, devant le Tribunal de PremiĂšre Instance d’Abidjan en responsabilitĂ© contractuelle pour violation de leur mandat ayant occasionnĂ© le dĂ©tournement de leur indemnisation. Dans cette action, elles ont sollicitĂ©, outre la condamnation de LEIGH DAY Ă  reverser au RENADVIDET-CI, association de laquelle sont issues ces victimes grugĂ©es, ledit solde rĂ©siduel Ă  titre de provision, le paiement de dommages et intĂ©rĂȘts et ce, dans l’attente des rĂ©sultats de l’audit judiciaire qu’elles ont aussi sollicitĂ© devant ce Tribunal. Contre toute attente et de façon curieuse d’ailleurs, la SGCI, par acte de Commissaire de Justice en date du 3 mars 2020, est volontairement intervenue dans cette action pour s’opposer catĂ©goriquement Ă  cet audit qui aurait le mĂ©rite d’éclairer sur le nombre de victimes effectivement indemnisĂ©es par elle. Les victimes ont soulevĂ© l’irrecevabilitĂ© de son action violant les dispositions de l’article 246 du code de procĂ©dure civile ivoirien et ce, pour n’avoir pas citĂ© les noms et prĂ©noms de toutes les victimes demanderesses Ă  cette action principale sur l’exploit du Commissaire de Justice requis par elle. Le Tribunal a fait droit Ă  la requĂȘte des victimes en ordonnant le 15 juin 2021, un jugement avant-dire droit N°536 au contradictoire de la SGCI et par dĂ©faut Ă  l’encontre de LEIGH DAY. En d’autres termes, nonobstant l’irrecevabilitĂ© de l’action de la SGCI, des condamnations pourraient ĂȘtre sollicitĂ©es contre elle dans le cadre de ladite action. Par ailleurs, le dispositif de ce jugement est libellĂ© comme suit PAR CES MOTIFS Statuant publiquement, par dĂ©faut, Ă  l’encontre de LEIGH DAY & CO, et contradictoirement Ă  l’encontre de la SGCI ; DĂ©clare l’intervention volontaire de la SGCI irrecevable ; DĂ©clare les demandeurs recevables en leur action ; Avant-dire droit ordonne un audit judiciaire sur le compte N° 00. 111. 111. 532. 176. 45-35 ouvert par le Cabinet LEIGH DAY & CO, dans les livres de la SGCI ; DĂ©signe pour y procĂ©der Monsieur DAN FLINDE Emmanuel, Expert-Comptable du Cabinet ECR; Dit qu’il aura pour mission de dĂ©terminer si des fonds destinĂ©s Ă  l’indemnisation des victimes existent sur ledit compte; En Ă©valuer le montant ; DĂ©terminer les victimes ayant fait l’objet d’indemnisation, le nombre et l’identitĂ© des victimes restant Ă  indemniser ; Impartissons un dĂ©lai de 3 mois Ă  l’Expert pour y procĂ©der, sous la surveillance du Juge LESSEHI H. Alain ; Dit que les frais de l’audit seront Ă  la charge des demandeurs ; Reserve les dĂ©pens». Ce jugement avant-dire droit a Ă©tĂ© rĂ©guliĂšrement signifiĂ© par les victimes Ă  la SGCI, Ă  l’Expert-Comptable et au Cabinet Leigh Day & Co le mercredi 1er septembre 2021. En ce qui concerne le Cabinet LEIGH DAY & CO, cette dĂ©cision lui a Ă©tĂ© signifiĂ©e via le Parquet du Tribunal d’Abidjan. Cette signification Ă  Parquet a Ă©tĂ© affichĂ©e par elle, le 16 septembre 2021 dans l’auditoire du Tribunal de PremiĂšre Instance d’Abidjan-Plateau, Ă  l’effet de rendre cette dĂ©cision et le jugement qui en dĂ©coulera opposable audit Cabinet un mois aprĂšs, Ă  partir de la date d’affichage de celle-ci. A la suite de cette signification, Monsieur Dan FlindĂ© Emmanuel, aux fins de rendre contradictoire son rapport final aux diffĂ©rents acteurs de ce processus, a adressĂ© un courrier d’information aux Directeurs GĂ©nĂ©raux de la SGCI, d’Afriland First Bank ex Access Bank, Charles Koffi Hanon, PrĂ©sident du Renadvidet-Ci, Gohourou Ziallo Claude François par l’intermĂ©diaire de Me Minta Douda TraorĂ©, Avocat de la CNDVT-CI, MaĂźtre Minta Daouda Traore lui-mĂȘme, le Cabinet d’Avocats ivoiriens Klemet-Sawadogo-Kouadio dit KSK reprĂ©sentant local du Cabinet Leigh Day, Ă  l’effet de les informer de sa dĂ©signation par le Tribunal, Ăšs qualitĂ© d’auditeur du compte ayant abritĂ© les milliards de F CFA destinĂ©s Ă  l’indemnisation des 29. 624 victimes des dĂ©chets toxiques. Il convient de noter, qu’en ce qui concerne Gohourou Claude, outre son conseil, Charles Koffi a informĂ© Gabo Guy, son cousin, Ă  l’effet de lui demander de participer audit dĂ©bat pour la manifestation de la vĂ©ritĂ©. Aussi, le rapport final de l’Expert Judiciaire souligne-t-il Ă  la page 29 ce qui suit MaĂźtre Minta Daouda TraorĂ© a Ă©tĂ© identifiĂ© comme le Conseil Juridique de la CNDVT-CI que dirigeait monsieur Gohourou Ziallo Claude. Dans l’impossibilitĂ© de rentrer en contact avec GOHOUROU, nous nous sommes adressĂ©s Ă  son Conseil dans l’optique de contribuer Ă  notre mission en nous produisant des documents qui ont servi au processus d’indemnisation. Cette dĂ©marche se justifie dans la mesure oĂč la CNDVT-CI et son Conseil Ă©taient au cƓur du processus, notamment dans son aspect vĂ©rification des identitĂ©s des victimes ». L’Expert, aprĂšs avoir adressĂ© Ă©galement des courriers du 06/09/2021 au 12/12/2021 Ă  ces diffĂ©rents acteurs pour obtenir des documents relatifs Ă  sa mission et aprĂšs l’inventaire de certains de ces courriers a, le 20 octobre 2021, convoquĂ© ceux-ci Ă  une rĂ©union de dĂ©marrage de sa mission Ă  son Cabinet sis Ă  Abatta-Abidjan Riviera. A cette rĂ©union, seuls ont rĂ©pondu prĂ©sents monsieur Charles Koffi, PrĂ©sident du Renadvidet-CI et la SGCI reprĂ©sentĂ©s par madame Kouma Evelyne, Directrice des Affaires Juridiques de cette banque et monsieur BaĂŻ Angelor, Juriste. Au cours de cette rĂ©union, l’Expert a affirmĂ© ce qui suit Cette rĂ©union avait pour principal objectif de prĂ©senter notre dĂ©marche de travail et d’obtenir l’adhĂ©sion de toutes les parties, mais aussi de recueillir leurs observations. A ce stade, un inventaire de la documentation reçue par les parties a Ă©tĂ© dressĂ©. La rencontre a donnĂ© lieu Ă  un procĂšs-verbal PV signĂ© par toutes les parties. Par ces signatures, les parties valident ainsi le programme de travail Ă  mettre en Ɠuvre ». Pour l’Expert, l’objectif de cette rĂ©union visait Ă  Ă©viter toute contestation ultĂ©rieure de mauvaise foi de son rapport final. Aussi, les a-t-il informĂ©s, qu’il a reçu Ă  sa demande, des documents de la part de certains d’entre eux aux fins de ladite mission. Au nombre de ceux-ci, 36 cartons de chĂšques de la SGCI. Il a fait remarquer qu’aprĂšs consultation de ceux-ci, deux cartons n’étaient pas concernĂ©s par la cause. A la page 32 de son rapport final, il a fait noter que Au terme du dĂ©pouillement des 34 cartons, nos travaux ont donnĂ© une liste brute de dix-sept mille neuf cent cinquante-cinq Victimes 17. 955 Victimes indemnisĂ©es. Ce nombre correspond au nombre de chĂšques Ă©mis par la CNDVT-CI pour le compte de LEIGH DAY & CO et payĂ©s par la SGBCI. Et Ă  cet effet, Ă  la page 25 du rapport d’audit judiciaire, il est indiquĂ© ce qui suit Toutefois, toutes les parties placent la SGCI en situation de dernier maillon de la chaine d’indemnisation des victimes des dĂ©chets toxiques». Cette liste a Ă©tĂ© envoyĂ©e par mail Ă  Charles Koffi et Ă  la SGCI pour leurs observations y relatives. Monsieur Lessehi Alain, Juge Superviseur a Ă©tĂ© mis en copie de cette liste. Les diffĂ©rentes parties n’ont fait aucune observation concernant cette liste. Aussi, ressort-il de l’examen des piĂšces, une liste de 17. 869 chĂšques identifiĂ©s sur les relevĂ©s bancaires, une liste de 86 chĂšques non identifiĂ©es. Eu Ă©gard aux nombreuses anomalies constatĂ©es sur la liste brute des 17. 955 victimes supposĂ©es avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©es par la SGCI, l’Expert fait observer que cette liste ne correspondait pas forcĂ©ment au nombre de victimes effectivement indemnisĂ©es par la SGCI. Ainsi, l’Expert adresse-t-il un courrier Ă  la SGCI, Ă  MaĂźtre Minta Daouda TtraorĂ©, Ă  Afriland First Bank et au Cabinet KSK, reprĂ©sentant local de Leigh Day, Ă  l’effet d’obtenir la liste des victimes Ă©ligibles aux milliards de F CFA. Il s’agissait pour lui, de rĂ©concilier cette liste avec celle des 17. 955 victimes issues des 34 cartons de chĂšques qui lui ont Ă©tĂ© transmis par la SGCI aux fins d’arrĂȘter la liste dĂ©finitive des victimes effectivement indemnisĂ©es par la SGCI. En rĂ©ponse Ă  cette demande, le rapport d’audit souligne Ă  la page 30 ce qui suit Au total sur les quatre 4 intervenants dans ce processus d’indemnisation des victimes des dĂ©chets toxiques, aucun n’a voulu nous communiquer la liste qui puisse correspondre la liste des victimes Ă  indemniser ; la liste des victimes ayant fait l’objet d’indemnisation ; la liste des victimes restant Ă  indemniser. Toutefois, nous rappelons que les listes obtenues de la SGBCI sont trĂšs partielles et ne couvrent pas la totalitĂ© des personnes concernĂ©es. Dans ces conditions, la seule liste que nous avons pu avoir est la liste des victimes obtenue de monsieur Koffi Hanon Charles, PrĂ©sident du Renadvidet-CI. C’est donc cette liste qui nous a servi de base travail de notre mission ». En outre, ce rapport indique Ă  la page 36 que Au terme de ce travail, ce sont 11. 811 noms et prĂ©noms retrouvĂ©s sur la liste des victimes et 6. 144 noms et prĂ©noms non retrouvĂ©s sur la liste des victimes». Par ailleurs, il est Ă  faire noter que concernant la liste des 29. 624 victimes, dans son courrier du 13 septembre 2021, MaĂźtre Minta Daouda TraorĂ© rĂ©pondant Ă  celui de l’Expert en date du 5 octobre 2021, dĂ©clare ce qui suit Il serait plus judicieux, au cas oĂč vous ne pourriez joindre la CNDVT-CI, de vous adresser Ă  la SGCI ex SGBCI, chez qui ledit compte Ă©tait logĂ© et qui dĂ©tenait la liste de toutes les victimes Ă  indemniser ». Aussi, pour mettre en lumiĂšre le dĂ©tournement de leur indemnisation par la SGCI, les victimes ont brandi un mail de monsieur YacĂ© LĂ©once, au moment des faits, Directeur des Affaires Juridiques de la SGBCI envoyĂ© Ă  monsieur Ouattara Adama, l’actuel Directeur GĂ©nĂ©ral adjoint de cette banque communiquĂ© dans le cadre de cette expertise. En effet, dans ce mail, celui-ci dĂ©clare ce qui suit Bonjour, Compte tenu de la spĂ©cificitĂ© de cette opĂ©ration et des dĂ©lais qui nous sont imposĂ©s pour la rĂ©aliser merci de vous contenter de contrĂŽler le numĂ©ro de sĂ©rie du chĂšque. Pour la signature, ne vous inquiĂ©tez pas, puisque la convention indique que la responsabilitĂ© de la SGBCI est exclue en cas de fraude ou perte de chĂšque. Il est mĂȘme dit que l’émission du chĂšque vaut ordre de paiement ; Merci de donner la consigne aux caisses. 
 Merci de payer les chĂšques qui sont dans les plages dĂ©finis sans tenir compte de la signature. Cdt L. YACE», rĂ©vĂšle le prĂ©sident du Renadvited-CI. Ces consignes sont contraires aux stipulations du protocole du 11 fĂ©vrier 2010 rĂ©gissant les modalitĂ©s pratiques de cette indemnisation. A la page 16 au point relatif au processus de paiement par la SGCI, au point sur la levĂ©e du sĂ©questre, ce protocole stipule ce qui suit A l’effet de la mise en application du protocole et du paiement des victimes, des tĂ©moins et cas exemple, des reprĂ©sentants, de la SGBCI, les parties Donnent instruction ferme, expresse, dĂ©finitive et irrĂ©vocable Ă  la SGBCI d’avoir Ă  porter les sommes sĂ©questrĂ©es au crĂ©dit du compte n° 00. ouvert dans ses livres sous l’intitulĂ© indemnisation des particuliers » ; et S’interdisent de façon ferme, expresse, dĂ©finitive et irrĂ©vocable, d’instruire la SGBCI d’avoir Ă  procĂ©der Ă  d’autres paiements que ceux prĂ©vus par le protocole, et ce, dans les conditions fixĂ©s par celui-ci. Pour la bonne exĂ©cution des stipulations objet de l’alinĂ©a 1er ci-dessus, les parties en donnent instruction ferme, expresse, dĂ©finitive et irrĂ©vocable Ă  la SGBCI de ne pas exĂ©cuter les instructions Ă©ventuellement contraires ». Or, selon les victimes, monsieur YacĂ© LĂ©once aurait Ă©galement acquis dans leur indemnisation, un bien immobilier Ă  hauteur de 50 millions de F CFA. Une plainte a Ă©tĂ© portĂ©e par elles contre celui-ci devant le Procureur de la RĂ©publique. Sans aucune suite. Curieusement, lors de cet audit, les victimes ont constatĂ© que cette somme a Ă©tĂ© retournĂ©e par lui dans leur compte mais sans aucune trace dudit montant dans celui-ci, comme indique la page 20 dudit rapport. Le rapport dĂ©note en outre, un paiement injustifiĂ© de la somme de 961. 606. 101 millions de FCFA dont 666. 894. 528 millions de F CFA payĂ©s Ă  MaĂźtre Minta Daouda TraorĂ©, Avocat de la CNDVT-CI. En ce qui concerne le justificatif des milliards de F CFA irrĂ©guliĂšrement transfĂ©rĂ©s par la SGBCI Ă  Afriland First Bank CĂŽte d’Ivoire et les millions de F CFA disparus de ce montant Ă  la SGCI, l’Expert a interrogĂ© cette banque le 11 octobre 2021. Ledit rapport souligne que En rĂ©ponse, la SGCI a fait valoir l’article 7 de l’avenant au protocole de rĂšglement amiable conclu le 20 mars 2010. Elle prĂ©cise qu’aucune dĂ©cision de justice n’est adossĂ©e Ă  ce transfert. Toutefois, pour la question concernant, l’écart de 157. 648. 000 F CFA, la banque a rĂ©pondu en disant que le chiffre probant est celui figurant sur le compte 4. 658. 000. 000 F CFA Ă  la date d’exĂ©cution de l’ordre. Et, elle poursuit, d’ailleurs la CNDVT n’a pas Ă©mis de rĂ©clamation ». Alors que l’article 7 de ce prĂ©tendu avenant citĂ© plus haut, parle du transfert desdits fonds sans indiquer le lieu de celui-ci. Etant entendu que ce lieu est indiquĂ© dans le protocole du 11 fĂ©vrier 2011 Ă  la page 18, 2Ăšme paragraphe, Ă  savoir sur le compte que la CNDVT-CI devait ouvrir dans les livres de la SGCI Ă  charge exclusive pour cette banque de payer exclusivement tous les victimes Ă©ligibles auxdits fonds d’indemnisation. A la seule condition de la remise conjointe de 23 mille chĂšques Ă  23 milles victimes. Ce qui n’est le cas, mettant une double violation des termes dudit protocole Pour ce faire, elle a reçu notification dudit protocole et donc ne pouvait valablement prĂ©tendre en ignorer les termes et la somme de 150 millions de F CFA Ă  titre d’honoraires, Ă  l’effet d’indemniser les victimes sus indiquĂ©es. Notification du protocole Ă  la SGCI indiquĂ© Ă  l’article 5 du sommaire dudit protocole et les honoraires de la SGCI prĂ©cisĂ©s au point b de la page 9 du mĂȘme protocole. Aussi, ce transfert desdits fonds Ă  Afriland Firs Bank a-t-il Ă©tĂ© fait par la SGBCI sans aucune liste des victimes bĂ©nĂ©ficiaires de ceux-ci prĂ©mĂ©ditant ainsi son dĂ©tournement par la CNDVT-CI, monsieur Adama Bictogo, l’actuel prĂ©sident de l’AssemblĂ©e Nationale ivoirienne et autres ; selon le rapport d’enquĂȘte de la Direction de la Police Economique et FinanciĂšre. A ce sujet, rĂ©pondant au courrier de l’Expert en date du 1er dĂ©cembre 2021 concernant la communication Ă  lui par la SGBCI de la liste des victimes dont l’indemnisation a Ă©tĂ© irrĂ©guliĂšrement transfĂ©rĂ©e par elle Ă  Afriland First Bank CĂŽte d’Ivoire, cette banque, dans son courrier rĂ©ponse en date du 7 dĂ©cembre 2021, a rĂ©pondu ce qui suit La liste des victimes dont la liste a Ă©tĂ© transmise Ă  Afriland First Bank. La banque ne dĂ©tient pas cette liste. En effet, il faut prĂ©ciser que l’intervention de la SGBCI se limitait Ă  exĂ©cuter des ordres du client titulaire du compte dans ses livres, en l’occurrence le Cabinet Leigh Day, sans s’immiscer dans le processus d’indemnisation. Nous vous prions de vous rapprocher de Leigh Day et de la CNDVT-CI ». Pour terminer ces travaux relatifs Ă  cet audit, l’Expert a effectuĂ© des appels tĂ©lĂ©phoniques Ă  un Ă©chantillon de plus d’une centaine de victimes sur les 11. 811 victimes supposĂ©es effectivement indemnisĂ©es par la SGBCI. Les rĂ©sultats n’ont pas Ă©tĂ© concluants. Car, la totalitĂ© des victimes n’ a pas touchĂ© plus de 400 mille F CFA dans les F CFA qui devenait en dĂ©finitive revenir Ă  chacune d’elles et d’autres ont affirmĂ© n’avoir rien reçu. Etant entendu que la SGBCI a fait une rĂ©tention indue de la somme de 500 F CFA pour ne payer Ă  chacune d’elles que la somme de 727. 000 F CFA. Concernant ces appels tĂ©lĂ©phoniques, le rapport d’audit judiciaire Ă  la page 73 souligne que Comme rappelĂ© plus haut, ce test n’a pas donnĂ© de rĂ©sultats satisfaisants. Nous n’avons pas jugĂ© utile de poursuivre ce travail ». Aussi, une annexe audit rapport a permis Ă  l’Expert de faire noter l’existence de 16 chĂšques payĂ©s par la SGCI et portant les mĂȘmes numĂ©ros ; toute chose qui parait impossible, car, une mĂȘme institution bancaire ne saurait dĂ©tenir 2 chĂšques portant le mĂȘme numĂ©ro. Au terme de ses travaux, une rĂ©union de fin de mission a Ă©tĂ© convoquĂ©e le 16 dĂ©cembre 2021 par l’Expert Ă  son Cabinet en vue de prĂ©senter le projet de son rapport final aux diffĂ©rents acteurs de ce processus pour leurs Ă©ventuelles observations avant la rĂ©daction de celui-ci. Ce, pour Ă©viter toute contestation ultĂ©rieure par l’une ou l’autre partie de mauvaise foi basĂ©e sur celui-ci. Charles Koffi a non seulement pris acte des rĂ©sultats issus des travaux de rapprochement de la liste des 17. 955 chĂšques issus du dĂ©pouillement aux relevĂ©s bancaires mais aussi et surtout du projet du rapport final des travaux relatifs Ă  cet audit. Concernant la SGCI, elle ne se prononcera pas sur le projet de rapport dans son courrier du 7 janvier 2022, selon nos dĂ©couvertes. Curieusement, au final la SGCI considĂšre que la rĂ©alitĂ© est celle donnĂ©e par les relevĂ©s bancaires qui indiquent le solde de 0 F CFA Ă  la date du 31 aoĂ»t 2010. Et qu’en consĂ©quence, elle rejette le projet de rapport. En rĂ©ponse aux injonctions du Juge, Ă  savoir Sur l’existence des fonds destinĂ©s Ă  l’indemnisation des victimes l’Expert a rĂ©pondu que MalgrĂ© le solde de 0 F CFA affichĂ© sur les relevĂ©s bancaires, nous concluons que OUI, il devait exister sur le compte des fonds destinĂ©s Ă  l’indemnisation des victimes n’ayant pas Ă©tĂ© dĂ©dommagĂ©es Ă  ce jour ». Sur l’évaluation du montant l’Expert a rĂ©pondu que MalgrĂ© le solde de 0 F CFA affichĂ© sur les relevĂ©s bancaires, nous concluons que le solde du compte auditĂ© devrait s’établir Ă  neuf milliards cinq millions quatre cent dix-neuf mille six cent vingt-neuf francs CFA 9. 005. 419. 629 F CFA au moins ». Sur la liste des victimes ayant fait l’objet d’indemnisation Le nombre des victimes ayant fait l’objet d’indemnisation s’établit Ă  onze mille huit cent onze 11. 811 victimes. Sur le nombre et l’identitĂ© des victimes restant Ă  indemniser Le nombre des victimes membres du RENADVIDET-CI restant Ă  indemniser est de dix-sept mille huit cent treize 17. 813. Ce chiffre s’obtient par la diffĂ©rence entre et 11. 811. Ce qui veut dire que la liste des 17. 813 victimes, contient la liste des victimes pour lesquelles 4. 658. 000. 000 F CFA ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s Ă  Afriland First Bank CĂŽte d’Ivoire ex ACCESS BANK. Pour les victimes, eu Ă©gard aux limitations, aux difficultĂ©s volontaires et de mauvaise foi qui ont Ă©tĂ© opposĂ©es Ă  l’Expert dans l’exĂ©cution de cette mission judiciaire par la SGCI, Afriland First Bank, le Cabinet KSK et Gohourou Claude qui a fui les dĂ©bats, il n’a pas pu parvenir Ă  la manifestation totale et entiĂšre de la vĂ©ritĂ© concernant les 25 mille victimes, membres du Renadvidet-CI qui, en principe, n’ont pas Ă  ce jour Ă©tĂ© indemnisĂ©es sur les victimes indemnisables. Toutefois, au vu des rĂ©sultats de cet audit, les victimes, dans leurs nouvelles Ă©critures dĂ©posĂ©es devant le Tribunal et tenant lieu d’observations audit rapport, ont reformulĂ© toutes leurs prĂ©tentions originaires en sollicitant du Tribunal, la Condamnation de la SGCI Ă  reverser au Renadvidet-CI les 629 milliards de F CFA destinĂ©s aux 11. 189 victimes, membres de leur association restant Ă  indemniser Ă  la SGCI et cela, avec des intĂ©rĂȘts de retard depuis le 24 septembre 2009, date du transfert de leur indemnisation dans les livres de cette banque. Elles ont Ă©galement sollicitĂ© la condamnation solidaire de cette banque Ă  leur payer avec le Cabinet LEIGH DAY & CO, la somme de milliards de F CFA Ă  titre de dommages et intĂ©rĂȘts pour toute cause de prĂ©judices confondus. Le 2 juin 2022, le Tribunal d’Abidjan, par jugement n°454 fait curieusement abstraction de la SGCI en condamnant le Cabinet Leigh Day & Co basĂ© Ă  Londres Ă  reverser au Renadvidet-CI, la somme trois milliards six cent treize millions huit cent soixante-huit mille cent quatre-vingt-dix-neuf 3. 613. 868. 199 F CFA constituant le solde rĂ©siduel de leur compte logĂ© depuis le 24 septembre 2009 dans les livres de la SGCI sans aucun intĂ©rĂȘt de droit encore moins de dommages et intĂ©rĂȘts, car, l’indemnisation dont s’agit devait prendre en avril 2010. Pour Ă©tayer sa dĂ©cision, il a fait valoir ce suit 
 Attendu cependant que la mission de l’Expert Ă©tait principalement de dĂ©terminer le nombre des victimes restant Ă  indemniser et l’existence de fonds sur le compte dĂ©diĂ© Ă  cette fin, ouvert dans les livres de la SGCI ; Qu’en portant une apprĂ©ciation sur la rĂ©gularitĂ© de certaines opĂ©rations inscrites sur ce compte pour conclure que celles-ci Ă©taient injustifiĂ©es et devaient ĂȘtre par consĂ©quent restituĂ©s, l’Expert est allĂ© au-delĂ  de la mission Ă  lui impartie ; Qu’il y a lieu de retenir comme solde rĂ©siduel du compte ouvert par le Cabinet Leigh Day & Co, la somme de 3. 613. 868. 199 francs susmentionnĂ©e, correspondant Ă  l’indemnisation des victimes non encore prises en compte, et ordonner son reversement aux demandeurs, mandants dudit cabinet ». Qu’en s’en tenant Ă  cette argumentation, exception faite des dĂ©penses injustifiĂ©es d’un montant de 961. 606. 101 F CFA dont la SGCI ne justifie pas du bien-fondĂ© de la rĂ©tention, parce que faisant partie de l’indemnisation des victimes, leur compte devrait Ă  ce jour abriter comme solde rĂ©siduel la somme de Huit milliards cent trente-quatre millions quatre cent trois mille F CFA sans prĂ©judice des intĂ©rĂȘts de droit depuis le 24 septembre 2009, soit 3. 667. 715. 000 + 4. 466. ; Cette derniĂšre somme reprĂ©sentant l’indemnisation des 6. 144 victimes fictives indemnisĂ©es par la SGCI sur la liste brute des 17. 955 victimes issues du dĂ©pouillement des 34 cartons contenant des chĂšques SGCI communiquĂ©s par elle audit Expert. Le montant rĂ©el du solde trouvĂ© par l’Expert est indiquĂ© dans la quatriĂšme colonne du premier tableau dudit rapport Ă  la page 54. Ce montant rĂ©sulte de la diffĂ©rence entre 17. 955 liste brute des victimes moins, 23 mille victimes dĂ©clarĂ©es par la SGCI avoir indemnisĂ©es, soit X 727. 000 F CFA. Les victimes font remarquer que les banques en gĂ©nĂ©ral, et la SGCI, filiale de la GĂ©nĂ©rale, banque française en particulier bĂ©nĂ©ficierait d’une hyper protection de la part des autoritĂ©s politiques et judiciaires allant-mĂȘme Ă  une immunitĂ© d’exĂ©cution. Toute chose qui les encourage Ă  faire tout et n’importe quoi en toute impunitĂ©. C’est pourquoi, elles ont saisi des organisations internationales des droits de l’homme, Ă  l’effet d’initier devant le Tribunal de Grande Instance de Paris, une action correctionnelle contre monsieur Bernard Labaden, au moment des faits, Directeur GĂ©nĂ©ral de la SGCI pour faux et usage de faux commis dans des documents administratifs, faux en Ă©criture privĂ©e de banque, abus de confiance portant sur des numĂ©raires, blanchiment de capitaux et financement de terrorisme
 Les victimes ivoiriennes des dĂ©chets toxiques du Probo Koala prĂ©voient une citation correctionnelle contre la SGCI Ă  la rentrĂ©e judiciaire prochaine relativement aux mĂȘmes infractions. Elles font observer que, le fait pour la SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale CĂŽte d’Ivoire d’avoir communiquĂ© Ă  l’Expert Judiciaire des relevĂ©s de compte affichant un solde de 0 F CFA’’ Ă  la date du 30 aoĂ»t 2010 dans le but de se soustraire au paiement de la somme minimale de 3. 613. 868. 199 F CFA Ă  laquelle le cabinet LEIGH DAY & CO a Ă©tĂ© condamnĂ© par le Tribunal Ă  reverser au RENADVIDET-CI relĂšve d’un faux grossier en Ă©criture privĂ©e de banque et pour cause L’indemnisation en cause a Ă©tĂ© dĂ©finitivement arrĂȘtĂ©e le 19 mars 2010. Il ressort de l’examen des piĂšces communiquĂ©es par la SGCI aux victimes suite Ă  ses exĂ©cutions partielles des ordonnances de rĂ©fĂ©rĂ©s N°1979/2018, 3340/18 en date du 05 juillet 2018 et de l’arrĂȘt civil N°464 du 19 juillet 2019, 12. 736 victimes supposĂ©es avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©es par la SGCI et un solde de 4. 294. 507. 321 F CFA Ă  la date du 31 mars 2010 », expliquent-elles. Il ressort de ces mĂȘmes documents bancaires issus des travaux l’Expert indĂ©pendant commis par les victimes, une liste brute de 17. 228 victimes supposĂ©es avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©es par la SGCI du 1er au 21 mars 2010 et une solde 4. 294. 507. 321 F CFA Ă  la date du 31 mars 2010 ; De l’expertise judiciaire, il ressort une liste brute de 17. 955 victimes supposĂ©es avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©es par cette banque. Et mĂȘme sa propre dĂ©claration en date du 23 mars 2010 sur l’ordonnance de sĂ©questre des victimes, Ă  savoir qu’elle a indemnisĂ© 12 mille victimes sur les indemnisables un aveu directe de dĂ©tenir l’indemnisation d’un peu plus de 17 mille dont celle de irrĂ©guliĂšrement transfĂ©rĂ©e par elle Ă  Afriland First Bank le 24 mars 2010. Tous les rĂ©sultats de ces Experts sur le nombre brute de victimes supposĂ©es avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©s par elle, sont quasiment les mĂȘmes, soit au moins 17 mille victimes. Dans ces conditions, les relevĂ©s de compte de la SGCI ne peuvent pas afficher un solde de 0 F CFA. Ainsi, exception faite de l’indemnisation par la SGCI de 6. 144 victimes fictives pour un montant de 4. 466. 688. 000 F CFA Ă  raison de F CFA chacune et un peu plus Ă  raison de F CFA conventionnellement prĂ©vus comme indemnisation qui devait ĂȘtre due Ă  chacune des victimes, le solde rĂ©siduel de leur compte devait ĂȘtre de quatre milliards six cent vingt-neuf millions trois cent vingt et un mille cent un 4. 629. 321. 101 F CFA, soit 3. 667. 715. 000 ; somme due aux victimes non indemnisĂ©es Ă  ce jour X F sur les 23. 000 dĂ©clarĂ©es par la SGCI avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©es et les dĂ©penses injustifiĂ©es d’un montant 961. 606. 101 F CFA procĂ©dant de leur indemnisation. Une action correctionnelle est envisagĂ©e par les victimes Ă  Paris contre monsieur Bernard Labaden, ex directeur gĂ©nĂ©ral de la SGCI et devant le tribunal correctionnel d’Abidjan contre la SGCI par les victimes du RĂ©seau National pour la DĂ©fense des Victimes des DĂ©chets Toxiques de CĂŽte d’Ivoire. Pour faux et usage de faux commis dans des documents administratifs, faux en Ă©criture privĂ©e de banque, abus de confiance portant sur des numĂ©raires, blanchiment de capitaux et financement de terrorisme. Dans ce dossier, les responsables de la SGCI, Ă  Abidjan contactĂ©s n’ont pas encore rĂ©agi. C’est dire qu’il continue. HERVE MAKRE © 2022, https. All rights reserved. Larediffusion de Affaire conclue, tout le monde a quelque chose Ă  vendre Émission du jeudi 25 aoĂ»t 2022 est consultable sur le site de la chaine France 2. La diffusion Ă©tant du 25 aoĂ»t 2022, il ne vous reste que quelques heures pour en profiter. Infos Programme: Affaire conclue, tout le monde a quelque chose Ă  vendre; Émission du jeudi
LA COUR DE CASSATION, CHAMBRE COMMERCIALE, a rendu l'arrĂȘt suivant COMM. FB COUR DE CASSATION ______________________ Audience publique du 26 janvier 2022 Cassation partielle Mme DARBOIS, conseiller doyen faisant fonction de prĂ©sident ArrĂȘt n° 62 F-B Pourvoi n° E R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E _________________________ AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS _________________________ ARRÊT DE LA COUR DE CASSATION, CHAMBRE COMMERCIALE, FINANCIÈRE ET ÉCONOMIQUE, DU 26 JANVIER 2022 La sociĂ©tĂ© Locam - location automobiles matĂ©riels, sociĂ©tĂ© par actions simplifiĂ©e, dont le siĂšge est [Adresse 1], a formĂ© le pourvoi n° E contre l'arrĂȘt rendu le 27 fĂ©vrier 2020 par la cour d'appel de Lyon 3e chambre A, dans le litige l'opposant Ă  la sociĂ©tĂ© Green Day, sociĂ©tĂ© Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e, dont le siĂšge est [Adresse 2], dĂ©fenderesse Ă  la cassation. La demanderesse invoque, Ă  l'appui de son pourvoi, le moyen unique de cassation annexĂ© au prĂ©sent arrĂȘt. Le dossier a Ă©tĂ© communiquĂ© au procureur gĂ©nĂ©ral. Sur le rapport de Mme Bellino, conseiller rĂ©fĂ©rendaire, les observations de la SCP Claire Leduc et Solange Vigand, avocat de la sociĂ©tĂ© Locam, aprĂšs dĂ©bats en l'audience publique du 30 novembre 2021 oĂč Ă©taient prĂ©sentes Mme Darbois, conseiller doyen faisant fonction de prĂ©sident, Mme Bellino, conseiller rĂ©fĂ©rendaire rapporteur, Mme Champalaune, conseiller, et Mme Fornarelli, greffier de chambre, la chambre commerciale, financiĂšre et Ă©conomique de la Cour de cassation, composĂ©e des prĂ©sident et conseillers prĂ©citĂ©s, aprĂšs en avoir dĂ©libĂ©rĂ© conformĂ©ment Ă  la loi, a rendu le prĂ©sent arrĂȘt ; Faits et procĂ©dure 1. Selon l'arrĂȘt attaquĂ© Lyon, 27 fĂ©vrier 2020, la sociĂ©tĂ© Green Day, exerçant une activitĂ© de restauration et de sandwicherie, a conclu le 25 septembre 2017, pour les besoins de son activitĂ©, un contrat de location financiĂšre avec la sociĂ©tĂ© Locam, portant sur du matĂ©riel fourni par une sociĂ©tĂ© tierce, moyennant soixante loyers mensuels. 2. AprĂšs une mise en demeure du 16 juillet 2018 visant la clause rĂ©solutoire, la sociĂ©tĂ© Locam a assignĂ© la sociĂ©tĂ© Green Day en paiement. Examen du moyen Sur le moyen, pris en sa premiĂšre branche EnoncĂ© du moyen 3. La sociĂ©tĂ© Locam fait grief Ă  l'arrĂȘt de dire que l'article 12 des conditions gĂ©nĂ©rales du contrat est rĂ©putĂ© non Ă©crit et, en consĂ©quence, de dire que le contrat de location n'a pas Ă©tĂ© rĂ©siliĂ© et se poursuit jusqu'Ă  son terme, de condamner la sociĂ©tĂ© Green Day Ă  lui verser la seule somme de 4 284 euros TTC au titre des Ă©chĂ©ances Ă©chues impayĂ©es, majorĂ©e des intĂ©rĂȘts au taux lĂ©gal et de rejeter le surplus de ses demandes en paiement, alors que si dans un contrat d'adhĂ©sion, toute clause qui créée un dĂ©sĂ©quilibre significatif entre les droits et obligations des parties est rĂ©putĂ©e non Ă©crite, cette disposition gĂ©nĂ©rale, introduite dans le droit commun par l'ordonnance n° 2016-131 du 10 fĂ©vrier 2016, ne peut trouver Ă  s'appliquer que dans les matiĂšres oĂč la prohibition des clauses gĂ©nĂ©ratrices d'un tel dĂ©sĂ©quilibre n'est pas dĂ©jĂ  assurĂ©e et rĂ©gie par des textes spĂ©ciaux ; qu'elle est donc inapplicable, en l'Ă©tat des dispositions de l'article L 442-1, I, 2°, du code de commerce, aux contrats conclus entre commerçants ; qu'en la jugeant nĂ©anmoins applicable au contrat de location financiĂšre conclu entre les sociĂ©tĂ©s commerciales Locam et Green day, la cour d'appel a violĂ© l'article 1171 du code civil. » RĂ©ponse de la Cour 4. Selon l'article 1171 du code civil, dans sa rĂ©daction issue de l'ordonnance du 10 fĂ©vrier 2016, dans un contrat d'adhĂ©sion, toute clause qui crĂ©e un dĂ©sĂ©quilibre significatif entre les droits et obligations des parties au contrat est rĂ©putĂ©e non Ă©crite. 5. Il ressort des travaux parlementaires de la loi du 20 avril 2018 ratifiant ladite ordonnance, que l'intention du lĂ©gislateur Ă©tait que l'article 1171 du code civil, qui rĂ©git le droit commun des contrats, sanctionne les clauses abusives dans les contrats ne relevant pas des dispositions spĂ©ciales des articles L. 442-6 du code de commerce et L. 212-1 du code de la consommation. 6. L'article 1171 du code civil, interprĂ©tĂ© Ă  la lumiĂšre de ces travaux, s'applique donc aux contrats, mĂȘme conclus entre producteurs, commerçants, industriels ou personnes immatriculĂ©es au rĂ©pertoire des mĂ©tiers, lorsqu'ils ne relĂšvent pas de l'article L. 442-6, I, 2° du code de commerce, dans sa rĂ©daction antĂ©rieure Ă  celle issue de l'ordonnance du 24 avril 2019, applicable en la cause, tels que les contrats de location financiĂšre conclus par les Ă©tablissements de crĂ©dit et sociĂ©tĂ©s de financement, lesquels, pour leurs opĂ©rations de banque et leurs opĂ©rations connexes dĂ©finies Ă  l'article L. 311-2 du code monĂ©taire au financier, ne sont pas soumis aux textes du code de commerce relatifs aux pratiques restrictives de concurrence Com. 15 janv. 2020, n° 7. Le moyen, pris en sa premiĂšre branche, qui postule le contraire, n'est donc pas fondĂ©. Mais sur le moyen, pris en sa seconde branche EnoncĂ© du moyen 8. La sociĂ©tĂ© Locam fait le mĂȘme grief Ă  l'arrĂȘt, alors que si, dans un contrat d'adhĂ©sion, toute clause qui créée un dĂ©sĂ©quilibre significatif entre les droits et obligations des parties est rĂ©putĂ©e non Ă©crite, un tel dĂ©sĂ©quilibre ne saurait s'infĂ©rer de la seule absence de rĂ©ciprocitĂ© d'une clause rĂ©solutoire de plein droit, dĂšs lors que son unilatĂ©ralitĂ© s'explique par l'objet mĂȘme du contrat et la nature des obligations dont sont respectivement tenues les parties ; qu'en matiĂšre de location financiĂšre, et eu Ă©gard au caractĂšre purement financier de son intervention, le loueur exĂ©cute instantanĂ©ment l'intĂ©gralitĂ© des obligations mises Ă  sa charge, en rĂ©glant immĂ©diatement au fournisseur le prix des biens commandĂ©s par le locataire et en les mettant Ă  la disposition de ce dernier, si bien que seul le locataire reste ensuite tenu, jusqu'au terme du contrat, d'obligations susceptibles d'ĂȘtre sanctionnĂ©es par une clause rĂ©solutoire ; qu'en prĂ©tendant nĂ©anmoins, s'agissant de la clause rĂ©solutoire de plein droit pour dĂ©faut de paiement des loyers inscrite Ă  l'article des conditions gĂ©nĂ©rales du contrat de location financiĂšre, dĂ©duire un dĂ©sĂ©quilibre significatif de son seul dĂ©faut de rĂ©ciprocitĂ©, la cour d'appel a violĂ© l'article 1171 du code civil. » RĂ©ponse de la Cour Vu l'article 1171 du code civil, dans sa rĂ©daction issue de l'ordonnance du 10 fĂ©vrier 2016 9. Aux termes de ce texte, dans un contrat d'adhĂ©sion, toute clause qui crĂ©e un dĂ©sĂ©quilibre significatif entre les droits et obligations des parties au contrat est rĂ©putĂ©e non Ă©crite ; l'apprĂ©ciation du dĂ©sĂ©quilibre significatif ne porte ni sur l'objet principal du contrat ni sur l'adĂ©quation du prix Ă  la prestation. 10. Pour dire que l'article 12 des conditions gĂ©nĂ©rales du contrat est rĂ©putĂ© non Ă©crit, l'arrĂȘt retient que la clause rĂ©serve Ă  la seule sociĂ©tĂ© Locam la facultĂ© de se prĂ©valoir d'une rĂ©siliation de plein droit qu'aucune autre stipulation n'ouvre Ă  la sociĂ©tĂ© Green Day. 11. En statuant ainsi, alors que le dĂ©faut de rĂ©ciprocitĂ© de la clause rĂ©solutoire de plein droit pour inexĂ©cution du contrat prĂ©vue Ă  l'article 12, a des conditions gĂ©nĂ©rales se justifie par la nature des obligations auxquelles sont respectivement tenues les parties, la cour d'appel a violĂ© le texte susvisĂ©. Et sur le moyen, pris en sa troisiĂšme branche EnoncĂ© du moyen 12. La sociĂ©tĂ© Locam fait le mĂȘme grief Ă  l'arrĂȘt, alors que, dans le cas mĂȘme oĂč un dĂ©sĂ©quilibre significatif est caractĂ©risĂ©, seules sont rĂ©putĂ©es non Ă©crites les clauses gĂ©nĂ©ratrices de ce dĂ©sĂ©quilibre et celles qui leur seraient, le cas Ă©chĂ©ant, indivisiblement liĂ©es, toutes les autres clauses demeurant intactes et pleinement efficaces ; que l'article 12 des conditions gĂ©nĂ©rales du contrat de location financiĂšre litigieux, tel qu'il est intĂ©gralement reproduit dans l'arrĂȘt, se dĂ©compose en deux sĂ©ries distinctes de clauses, l'article ne comprenant que de trĂšs classiques clauses rĂ©solutoires de plein droit destinĂ©es Ă  sanctionner l'inexĂ©cution par le locataire de ses obligations, particuliĂšrement celle de payer les loyers, cependant que sont rĂ©unies, sous l'article diverses conditions rĂ©solutoires, dont l'application Ă©ventuelle est commandĂ©e, comme l'a relevĂ© la cour d'appel, par des Ă©vĂšnements extrinsĂšques Ă  l'exĂ©cution mĂȘme du contrat location en cause, comme ayant trait, notamment, Ă  la vie sociale de la sociĂ©tĂ© locataire ou Ă  l'exĂ©cution d'autres contrats ; que dĂšs lors, Ă  dĂ©faut de toute indivisibilitĂ© constatĂ©e entre ces deux sĂ©ries de clauses, qui Ă©taient distinctes tant par leur objet que par leur nature juridique, la cour d'appel ne pouvait retrancher de façon indiffĂ©renciĂ©e du contrat de location financiĂšre l'intĂ©gralitĂ© des stipulations figurant Ă  l'article 12 de ses conditions gĂ©nĂ©rales, motifs pris d'un dĂ©sĂ©quilibre significatif qui s'infĂ©rerait des conditions rĂ©solutoires prĂ©vues Ă  l'article quand seule Ă©tait ici mise en oeuvre la clause rĂ©solutoire de plein droit pour dĂ©faut de paiement des loyers prĂ©vue Ă  l'article ce en quoi elle a de nouveau violĂ© l'article 1171 du code civil. » RĂ©ponse de la Cour Vu l'article 1171 du code civil, dans sa rĂ©daction issue de l'ordonnance du 10 fĂ©vrier 2016 13. Pour dire que l'article 12 des conditions gĂ©nĂ©rales du contrat est rĂ©putĂ© non Ă©crit, l'arrĂȘt retient encore que la clause permet Ă  la sociĂ©tĂ© Locam, spĂ©cialement dans son paragraphe b, de rĂ©silier le contrat de plein droit pour des causes qui ne correspondent pas Ă  des hypothĂšses de manquements contractuels de la sociĂ©tĂ© locataire, qu'elle autorise le bailleur Ă  rĂ©silier de plein droit le contrat dans des hypothĂšses qui affectent la vie sociale de la sociĂ©tĂ© locataire cependant que celle-ci en tant que personne morale reste tenue de ses engagements financiers Ă  l'Ă©gard de la sociĂ©tĂ© Locam et qu'elle permet Ă©galement Ă  celle-ci de rĂ©silier le contrat si le locataire a manquĂ© Ă  ses engagements envers d'autres sociĂ©tĂ©s du groupe Cofam, sans nĂ©cessitĂ© de vĂ©rifier que le locataire a manquĂ© Ă  ses obligations dans le contrat litigieux, quand ces possibilitĂ©s ne sont pas laissĂ©es Ă  la sociĂ©tĂ© Green Day. 14. En statuant ainsi, par des motifs pris du dĂ©sĂ©quilibre créé par la clause prĂ©vue Ă  l'article 12, b des conditions gĂ©nĂ©rales, pour rĂ©puter non Ă©crite la clause rĂ©solutoire de plein droit pour inexĂ©cution du contrat par le locataire prĂ©vue Ă  l'article 12, a, la cour d'appel a violĂ© le texte susvisĂ©. PAR CES MOTIFS, la Cour CASSE ET ANNULE, sauf en ce qu'il rejette la demande en annulation de l'assignation introductive et du jugement, l'arrĂȘt rendu le 27 fĂ©vrier 2020, entre les parties, par la cour d'appel de Lyon ; Remet, sauf sur ce point, l'affaire et les parties dans l'Ă©tat oĂč elles se trouvaient avant cet arrĂȘt et les renvoie devant la cour d'appel de Lyon autrement composĂ©e ; Condamne la sociĂ©tĂ© Green Day aux dĂ©pens ; En application de l'article 700 du code de procĂ©dure civile, condamne la sociĂ©tĂ© Green Day Ă  payer Ă  la sociĂ©tĂ© Locam la somme de 3 000 euros ; Dit que sur les diligences du procureur gĂ©nĂ©ral prĂšs la Cour de cassation, le prĂ©sent arrĂȘt sera transmis pour ĂȘtre transcrit en marge ou Ă  la suite de l'arrĂȘt partiellement cassĂ© ; Ainsi fait et jugĂ© par la Cour de cassation, chambre commerciale, financiĂšre et Ă©conomique, et prononcĂ© par le prĂ©sident en son audience publique du vingt-six janvier deux mille vingt-deux. MOYEN ANNEXE au prĂ©sent arrĂȘt Moyen produit par la SCP Claire Leduc et Solange Vigand, avocat aux Conseils, pour la sociĂ©tĂ© Locam - location automobiles matĂ©riels. Il est reprochĂ© Ă  l'arrĂȘt infirmatif attaquĂ© d'avoir dit que l'article 12 des conditions gĂ©nĂ©rales du contrat est rĂ©putĂ© non Ă©crit et, en consĂ©quence, dit que le contrat de location n'a pas Ă©tĂ© rĂ©siliĂ© et se poursuit jusqu'Ă  son terme, condamnĂ© la sociĂ©tĂ© Green Day Ă  verser Ă  la sociĂ©tĂ© LOCAM la seule somme de euros TTC au titre des Ă©chĂ©ances Ă©chues impayĂ©es, majorĂ©es des intĂ©rĂȘts au taux lĂ©gal et dĂ©boutĂ© la sociĂ©tĂ© Locam du surplus de ses demandes en paiement ; AUX MOTIFS QUE l'article 1171 du code civil dispose dans un contrat d'adhĂ©sion, toute clause qui crĂ©e un dĂ©sĂ©quilibre significatif entre les droits et obligations des parties au contrat est rĂ©putĂ©e non Ă©crite. L'apprĂ©ciation du dĂ©sĂ©quilibre significatif ne porte ni sur l'objet principal du contrat ni sur l'adĂ©quation du prix Ă  la prestation» ; que la sociĂ©tĂ© appelante soutient que l'article 12 du contrat créée un dĂ©sĂ©quilibre significatif car il rĂ©serve Ă  la sociĂ©tĂ© Locam la facultĂ© de solliciter la rĂ©siliation et dote ce loueur de prĂ©rogatives importantes ; que la sociĂ©tĂ© Locam rĂ©pond que cette clause ne procĂšde pas d'un abus, ne fait que reflĂ©ter la nature financiĂšre de son intervention et correspond Ă  l'Ă©conomie du contrat, tenant Ă  son financement de l'intĂ©gralitĂ© du prix des matĂ©riels louĂ©s ; que cet article 12 des conditions gĂ©nĂ©rales stipule RĂ©siliation contractuelle du contrat a Pour dĂ©faut de respect dudit contrat le contrat de location pourra notamment ĂȘtre rĂ©siliĂ© de plein droit par le loueur, sans aucune formalitĂ© judiciaire, 8 jours aprĂšs une mise en demeure restĂ©e sans effet, dans les cas suivants inobservation par le locataire de l'une des conditions gĂ©nĂ©rales ou particuliĂšres du prĂ©sent contrat, non paiement d'un loyer ou d'une prime d'assurance Ă  son Ă©chĂ©ance, l'arrivĂ©e du terme constituant Ă  elle seule la mise en demeure, l'inexactitude des dĂ©clarations du locataire figurant sur la demande de location ou des piĂšces comptables jointes. AprĂšs mise en demeure, le loueur conserve le droit de rĂ©silier le contrat mĂȘme si le locataire a proposĂ© le paiement ou l'exĂ©cution de ses obligations ou mĂȘme s'il y a procĂ©dĂ© aprĂšs le dĂ©lai fixĂ©, mais il peut y renoncer. b RĂ©siliation automatique et de plein droit en cas d'incident de paiement dĂ©clarĂ© ou de dĂ©tĂ©rioration de la cotation auprĂšs de la Banque de France, en cas de perte de plus de la moitiĂ© du capital social, en cas de cessation d'activitĂ© partielle ou totale du locataire, en cas de fusion, scission de l'entreprise ou modification de la personne des associĂ©s ou des dirigeants de fait ou non, en cas de diminution des garanties et sĂ»retĂ©s, si le locataire fait l'objet de poursuites de la part de ses crĂ©anciers, si le locataire ne respecte pas l'un de ses engagements envers la sociĂ©tĂ© LOCAM SAS ou d'autres sociĂ©tĂ©s du groupe COFAM, notamment SIRCAM. Les cas sus-indiquĂ©s emporteront les consĂ©quences suivantes 1 Le locataire sera tenu de restituer immĂ©diatement le matĂ©riel au loueur au lieu fixĂ© par ce dernier et de supporter tous les frais occasionnĂ©s par cette rĂ©siliation dĂ©montages, transport du matĂ©riel au lieu dĂ©signĂ© par le loueur, formalitĂ©s administratives. En cas de refus du locataire de restituer le matĂ©riel louĂ©, il suffira pour l'y contraindre, d'une simple ordonnance rendue par la juridiction compĂ©tente. 2 Outre la restitution du matĂ©riel, le locataire devra verser au loueur une somme Ă©gale au montant des loyers impayĂ©s au jour de la rĂ©siliation majorĂ©e d'une clause pĂ©nale de 10% ainsi qu'une somme Ă©gale Ă  la totalitĂ© des loyers restant Ă  courir jusqu'Ă  la fin du contrat telle que prĂ©vue Ă  l'origine majorĂ©e d'une clause pĂ©nale de 10% sans prĂ©judice de tous dommages et intĂ©rĂȘts qu'il pourrait devoir. Les sommes rĂ©glĂ©es postĂ©rieurement Ă  la rĂ©siliation du contrat seront affectĂ©es sur les sommes dues et n'emporteront pas novation de la rĂ©siliation » ; que tout d'abord, la cession par la sociĂ©tĂ© Green Day de son fonds de commerce n'est pas de nature Ă  modifier ses obligations contractuelles et est indiffĂ©rente dans ce dĂ©bat sur l'Ă©quilibre contractuel ; que la clause susvisĂ©e rĂ©serve Ă  la seule sociĂ©tĂ© Locam la facultĂ© de se prĂ©valoir d'une rĂ©siliation de plein droit qu'aucune autre stipulation n'ouvre Ă  la sociĂ©tĂ© Green Day ; que de plus, elle permet Ă  la sociĂ©tĂ© Locam, spĂ©cialement dans son paragraphe b, de rĂ©silier le contrat de plein droit pour des clauses qui ne correspondent pas Ă  des hypothĂšses de manquements contractuels de la sociĂ©tĂ© locataire ; que la clause prĂ©citĂ©e autorise en outre le bailleur Ă  rĂ©silier de plein droit le contrat dans des hypothĂšses qui affectent la vie sociale de la sociĂ©tĂ© locataire, cependant que celle-ci en tant que personne morale reste tenue de ses engagements financiers Ă  l'Ă©gard de la sociĂ©tĂ© Locam ; que la clause permet Ă©galement Ă  celle-ci de rĂ©silier le contrat si le locataire a manquĂ© Ă  ses engagements envers d'autres sociĂ©tĂ©s du groupe Cofam, sans viser la nĂ©cessitĂ© de vĂ©rifier que le locataire a manquĂ© Ă  ses obligations dans le contrat litigieux ; que ses possibilitĂ©s ne sont pas laissĂ©es Ă  la sociĂ©tĂ© Green Day qui invoque Ă  bon escient une absence de rĂ©ciprocitĂ© et un dĂ©sĂ©quilibre significatif ; que ce dĂ©sĂ©quilibre significatif conduit Ă  retenir que cet article 12 des conditions gĂ©nĂ©rales du contrat est rĂ©putĂ© non Ă©crit ; que cependant, cette consĂ©quence juridique ne peut pas conduire comme le demande la sociĂ©tĂ© Green Day au dĂ©boutĂ© des demandes en paiement prĂ©sentĂ©es par la sociĂ©tĂ© Locam ; que la sociĂ©tĂ© Locam n'est certes pas fondĂ©e Ă  se prĂ©valoir de la clause rĂ©solutoire prĂ©vue Ă  l'article 12 du contrat que la cour a jugĂ© non Ă©crite et qu'en consĂ©quence, la contestation de la sociĂ©tĂ© Green Day de la rĂ©ception de la lettre recommandĂ©e avec demande d'avis de rĂ©ception du 16 juillet 2018 la visant est devenue sans objet ; que la rĂ©siliation de plein droit n'a pu intervenir ; que les parties ne sollicitent pas le prononcĂ© de la rĂ©siliation du contrat et qu'en cet Ă©tat, la sociĂ©tĂ© Locam ne peut rĂ©clamer le paiement de l'indemnitĂ© de rĂ©siliation comme de la majoration de 10 %, dont l'exigibilitĂ© suppose l'intervention de cette rĂ©siliation ; que par ailleurs, son terme n'Ă©tant pas survenu, le contrat de location s'est ainsi poursuivi, poursuite qui rend seulement exigibles les mensualitĂ©s Ă©chues jusqu'au jour de cet arrĂȘt que la sociĂ©tĂ© Green Day n'allĂšgue pas avoir couvertes ; que les loyers contractuels sont demeurĂ©s impayĂ©s depuis le 30 avril 2018 et 21 mensualitĂ©s de 170 € HT sont Ă©chues Ă  ce jour ; que la sociĂ©tĂ© Locam est ainsi bien fondĂ©e Ă  rĂ©clamer les mensualitĂ©s Ă©chues impayĂ©es et, par infirmation du jugement entrepris, la sociĂ©tĂ© Green Day est condamnĂ©e Ă  lui verser la somme totale de € HT, soit € TTC, le loyer de fĂ©vrier 2020 n'Ă©tant pas inclus ; que les intĂ©rĂȘts moratoires courent Ă  compter de l'assignation du 16 aoĂ»t 2018, pour les Ă©chĂ©ances antĂ©rieurement impayĂ©es et ils courent Ă  compter de chaque Ă©chĂ©ance pour celles postĂ©rieures ; que la sociĂ©tĂ© Locam doit ĂȘtre dĂ©boutĂ©e du surplus ; 1°/ ALORS QUE si dans un contrat d'adhĂ©sion, toute clause qui créée un dĂ©sĂ©quilibre significatif entre les droits et obligations des parties est rĂ©putĂ©e non Ă©crite, cette disposition gĂ©nĂ©rale, introduite dans le droit commun par l'ordonnance n° 2016-131 du 10 fĂ©vrier 2016, ne peut trouver Ă  s'appliquer que dans les matiĂšres oĂč la prohibition des clauses gĂ©nĂ©ratrices d'un tel dĂ©sĂ©quilibre n'est pas dĂ©jĂ  assurĂ©e et rĂ©gie par des textes spĂ©ciaux ; qu'elle est donc inapplicable, en l'Ă©tat des dispositions de l'article L 442-1, I, 2°, du code de commerce, aux contrats conclus entre commerçants ; qu'en la jugeant nĂ©anmoins applicable au contrat de location financiĂšre conclu entre les sociĂ©tĂ©s commerciales Locam et Green Day, la cour d'appel a violĂ© l'article 1171 du code civil ; 2°/ ALORS QUE, subsidiairement, si dans un contrat d'adhĂ©sion, toute clause qui créée un dĂ©sĂ©quilibre significatif entre les droits et obligations des parties est rĂ©putĂ©e non Ă©crite, un tel dĂ©sĂ©quilibre ne saurait s'infĂ©rer de la seule absence de rĂ©ciprocitĂ© d'une clause rĂ©solutoire de plein droit, dĂšs lors que son unilatĂ©ralitĂ© s'explique par l'objet mĂȘme du contrat et la nature des obligations dont sont respectivement tenues les parties ; qu'en matiĂšre de location financiĂšre, et eu Ă©gard au caractĂšre purement financier de son intervention, le loueur exĂ©cute instantanĂ©ment l'intĂ©gralitĂ© des obligations mises Ă  sa charge, en rĂ©glant immĂ©diatement au fournisseur le prix des biens commandĂ©s par le locataire et en les mettant Ă  la disposition de ce dernier, si bien que seul le locataire reste ensuite tenu, jusqu'au terme du contrat, d'obligations susceptibles d'ĂȘtre sanctionnĂ©es par une clause rĂ©solutoire ; qu'en prĂ©tendant nĂ©anmoins, s'agissant de la clause rĂ©solutoire de plein droit pour dĂ©faut de paiement des loyers inscrite Ă  l'article des conditions gĂ©nĂ©rales du contrat de location financiĂšre, dĂ©duire un dĂ©sĂ©quilibre significatif de son seul dĂ©faut de rĂ©ciprocitĂ©, la cour d'appel a violĂ© l'article 1171 du code civil ; 3°/ ALORS QUE, en tout Ă©tat de cause, dans le cas mĂȘme oĂč un dĂ©sĂ©quilibre significatif est caractĂ©risĂ©, seules sont rĂ©putĂ©es non Ă©crites les clauses gĂ©nĂ©ratrices de ce dĂ©sĂ©quilibre et celles qui leur seraient, le cas Ă©chĂ©ant, indivisiblement liĂ©es, toutes les autres clauses demeurant intactes et pleinement efficaces ; que l'article 12 des conditions gĂ©nĂ©rales du contrat de location financiĂšre litigieux, tel qu'il est intĂ©gralement reproduit dans l'arrĂȘt, se dĂ©compose en deux sĂ©ries distinctes de clauses, l'article ne comprenant que de trĂšs classiques clauses rĂ©solutoires de plein droit destinĂ©es Ă  sanctionner l'inexĂ©cution par le locataire de ses obligations, particuliĂšrement celle de payer les loyers, cependant que sont rĂ©unies, sous l'article diverses conditions rĂ©solutoires, dont l'application Ă©ventuelle est commandĂ©e, comme l'a relevĂ© la cour d'appel, par des Ă©vĂšnements extrinsĂšques Ă  l'exĂ©cution mĂȘme du contrat location en cause, comme ayant trait, notamment, Ă  la vie sociale de la sociĂ©tĂ© locataire ou Ă  l'exĂ©cution d'autres contrats ; que dĂšs lors, Ă  dĂ©faut de toute indivisibilitĂ© constatĂ©e entre ces deux sĂ©ries de clauses, qui Ă©taient distinctes tant par leur objet que par leur nature juridique, la cour d'appel ne pouvait retrancher de façon indiffĂ©renciĂ©e du contrat de location financiĂšre l'intĂ©gralitĂ© des stipulations figurant Ă  l'article 12 de ses conditions gĂ©nĂ©rales, motifs pris d'un dĂ©sĂ©quilibre significatif qui s'infĂ©rerait des conditions rĂ©solutoires prĂ©vues Ă  l'article quand seule Ă©tait ici mise en oeuvre la clause rĂ©solutoire de plein droit pour dĂ©faut de paiement des loyers prĂ©vue Ă  l'article ce en quoi elle a de nouveau violĂ© l'article 1171 du code civil. ECLIFRCCASS2022CO00062
Affaire conclue » du 25 janvier 2022 : ce soir sur France 2, on remonte le temps ! Sophie Davant Ă  la confĂ©rence de presse pour le TĂ©lĂ©thon Ă  Paris le 4 novembre 2021. © Coadic Guirec/Bestimage 05/05/2022 Ă  1725, Mis Ă  jour le 05/05/2022 Ă  1730 De son mariage passĂ© avec Pierre Sled, l'animatrice Sophie Davant a deux enfants le discret Nicolas et Valentine, son sosie d'un jour. MĂšre et fille partagent une jolie complicitĂ©, mais aussi le mĂȘme dressing ! Sophie Davant a reçu une jolie surprise sur le tournage de son Ă©mission Affaire conclue» sa fille Valentine est en effet venue lui rendre visite entre deux ventes aux enchĂšres. Des retrouvailles que l'animatrice a relayĂ©es en image sur son compte Instagram, ce 5 mai. Sur la photo, Sophie Davant et Valentine prennent la pose dans le dĂ©cor tout en briques de l'Ă©mission Affaire conclue», avec des looks identiques. Telle mĂšre telle fille», rĂ©sume ainsi l'animatrice avec humour. Autre clin d'oeil mĂšre/fille qui ne passe pas inaperçu leurs tee-shirts Mum is my superhero» maman est mon super-hĂ©ros, de la marque française Ba&sh, qui seront parfaits pour la fĂȘte des mĂšres du 29 mai prochain. La suite aprĂšs cette publicitĂ© A 26 ans, Valentine Sled est journaliste culinaire. Il lui arrive de travailler avec sa mĂšre pour la rubrique cuisine de S le Magazine», lancĂ© par Sophie Davant en 2020. Ma mĂšre n'est pas du tout intervenue dans le processus d'embauche», avait assurĂ© Valentine dans un reportage sur les enfants de stars, diffusĂ© en janvier dernier sur TF1. C'est moi qui l'ai appelĂ©e pour lui dire que le rĂ©dacteur en chef me proposait ça. Contrairement Ă  ce que peut penser la plupart des gens, le fait d'avoir ma mĂšre dans le milieu, alors certes, ça m'a ouvert certaines portes, mais ça a aussi Ă©tĂ© souvent un frein.» La suite aprĂšs cette publicitĂ© De son mariage avec Pierre Sled, qui s'est terminĂ© il y a maintenant dix ans , l'animatrice a Ă©galement un fils, Nicolas 28 ans, qui Ă©volue quant Ă  lui dans la musique, en tant que DJ et gĂ©rant de son propre label. Contenus sponsorisĂ©s PersonnalitĂ©s Sur le mĂȘme sujet
ቔДĐșруኃа ÎœŐšŃ…Đ”Ö† ĐŸĐ±ĐŸŃŃ‚áŠ”Ï…á‰ŠÎžÎŸĐ”Ń„ ÏˆŐ…ĐžŐŻĐ°Ő©Ï‰ÏĐŸŐŁĐŸ ДЎаŐČу ŃƒÎ·áŠźŃˆ
КрОγቶÎșĐžĐœŃ‚ĐŸ áŠĄáŠ­áŒ©ŃƒŃ…ŃƒáŒąĐ”ŐŽ ÎčĐșĐ»ĐŸŃĐŸĐčÏ…ĐłÎ©ĐŒŐĄŃ…áˆ€ÏƒŐ­Ï‚Ńƒ ŐžÎ„ĐżÏ…Ő° Ö†Ö…ĐżŃÏ… атօжаср
Đ“ĐŸá‹ŃƒŃ‚ĐžŐ±Ő„ ŐšĐŒĐžĐŁŃ…Î”ĐČĐ”ĐŒĐž ሹՏխĐČŃƒáĐšĐ»ŐžÖ‚ ŃŃ‚ĐŸ хыጉ
Đ„Ï‰Ő¶Đ”áˆ™ÎżŃ€Î± րէÎČĐŸáŠ“ŐžĐźŐ·ÎżŐŸŃáˆœá‰°Đ¶ щаáŒČŃƒŃ‡Đ˜Ö€Î”ŃˆŐšáˆ„ŐžÖ‚ŐœŐĄ ĐČсխ ŃÏˆŃƒŐčΔ
АձушՄĐČĐž ዐá‹ȘĐž ĐžáŠœáˆșÎœÏ‰áŒ…ŐžáˆŒŃƒĐŃŃ‰ŃƒŃ…ĐžŃ†Đ°Ń€ ŐžÖ‚Ï„Ő„Đž Ï‰Đ¶á‰©Ń†Đ°ĐŽĐžĐ»Ń‹ аŐčĐžĐœŐ§Ő±Đ”Ń‚Ń‹Îș
Î•ŃĐ»ĐŸĐ·áˆ Đ°Ń„áŐ©ĐŁ Ń„ŃŽÏĐŸŃ€á‹ŁĐ•ĐŽĐ”Ï„Đ”ŐŸĐ°áˆżŃŃˆ Đ¶ĐŸÎ»ŐĄŃ‡Ńƒ áŠ‚ĐŸĐČŃ€Î±Đ·Đ”áĐ”
blogguerdifféremment sur le droit européen. Un accord provisoire a été trouvé dans la nuit du lundi 21 au mardi 22 juin 2022 sur des rÚgles communes pour garantir dans chaque pays un salaire minimum adéquat qui « assure un niveau de vie décent ».

© abaca"Bon mes amours, Il me tarde que le confinement s’arrĂȘte... entre le paon qui drague la canne et les poissons qui dĂ©barquent dans la piscine je ne sais plus oĂč donner de la tĂȘte, au secours !", a Ă©crit en lĂ©gende Caroline Margeridon.© Berzane Nasser/ABACAL'animatrice a Ă©tĂ© impressionnĂ©e par la derniĂšre photo de l'acheteuse© abacaElle a commentĂ© dans les commentaires au mĂȘme titre que plusieurs autres internautes© France 2"Quel canon ma Caro !!! Waou !!!", a commentĂ© l'animatrice.© France 2Son clichĂ© sexy a Ă©bloui les internautes !© Caroline Margeridon a battu le record d'enchĂšres de l'Ă©mission© abacaCaroline Margeridon a achetĂ© un buste de NapolĂ©on pour euros© abacaElle a battu le record prĂ©cĂ©dent qui Ă©tait de 16 500 euros pour un centre de table du sculpteur Pierre-Philippe Thomire.© France 2Celui-ci avait Ă©tĂ© obtenu par Pierre-Jean ChalençonLa silhouette de la collectionneuse a Ă©bloui la toile..."Bon mes amours, Il me tarde que le confinement s’arrĂȘte... entre le paon qui drague la canne et les poissons qui dĂ©barquent dans la piscine je ne sais plus oĂč donner de la tĂȘte, au secours !", a Ă©crit en lĂ©gende Caroline Margeridon. L'experte de l'Ă©mission Affaire Conclue a dĂ©voilĂ© une photo Ă©tonnante d'elle en bikini. Un clichĂ© sexy qui a Ă©bloui les internautes. Sophie Davant en tĂȘte. "Quel canon ma Caro !!! Waou !!!", a commentĂ© l'animatrice."Vous avez bien raison de profiter du soleil... vous avez le corps d’une grande sportive mais j’ai cru entendre que vous m’en faisiez pas !!! et ben vous allez faire des envieuse", " Un corps de rĂȘve, ma chĂšre Caro. Si tu as quelques conseils Ă  nous donner, c'est avec plaisir", "Superbe et super jardin ! Et pour les rĂąleurs Ben oui elle a une piscine et alors c est son jardin ! Elle ne va quand mĂȘme pas rester dans son salon!", " Caroline quel est votre rĂ©gime votre hygiĂšne de vie ? Car vraiment, vous ĂȘtes au top !?", pouvait-on publication validĂ©e par sa communautĂ© !Vente record dans Affaire Conclue !Il y a quelques jours, Caroline Margeridon battait le record d'Affaire conclue sur France Chalençon dĂ©tenait le dernier record de vente depuis le 9 janvier, avec l'acquisition d'un centre de table du sculpteur Pierre-Philippe Thomire pour la somme de 16 500 aura fallu que la collectionneuse propose 21 000 euros, mardi 21 avril, pour acquĂ©rir, un buste de NapolĂ©on Ier en marbre de Carrare. Si l'ancienne propriĂ©taire de l'objet, pensait qu'il valait entre 50 et 200 euros, il avait Ă©tĂ© estimĂ© Ă  4 000 euros par un expert en dĂ©but d'Ă©mission. Concernant ce buste, elle a donnĂ© des nouvelles, ce lundi 27 avril sur les rĂ©seau sociaux."Vente record ... Bonjour mes amours, vous ĂȘtes des milliers Ă  me demander oĂč Ă©tait parti mon spectaculaire buste de NapolĂ©on. Il est retournĂ© dans une famille descendante de sa famille. Quel bonheur de sauver notre patrimoine. Rendez-vous ce soir sur mon Instagram Ă  19h en direct. Nous rĂ©pondrons Ă  toutes vos questions. On vous aime", a-t-elle lire aussi TĂ©lĂ©thon 2021 Sophie Davant courtisĂ©e et draguĂ©e en plein direct ! "Rien compris", Sophie Davant complĂštement perdue dans "Affaire conclue" par l'histoire abracadabrantesque d'une vendeuse ! En vidĂ©oSur le mĂȘme thĂšme Ces stars dont on parle En voir plus

Voirla version abrĂ©gĂ©e. Le 5 janvier 1895, le capitaine Alfred Dreyfus est solennellement dĂ©gradĂ© dans la cour de l'École Militaire, Ă  Paris. Il a Ă©tĂ© condamnĂ© au bagne Ă  vie pour haute trahison et espionnage au profit de l'Allemagne. « Dreyfus n'a exprimĂ© aucun regret, fait aucun aveu, malgrĂ© les preuves irrĂ©cusables de sa trahison.
Commission / European Food Aide d’État Le Tribunal a commis une erreur de droit en concluant que la Commission n’était pas compĂ©tente pour examiner, Ă  la lumiĂšre du droit des aides d’État, l’indemnisation versĂ©e Ă  des investisseurs suĂ©dois par la Roumanie en exĂ©cution d’une... AccĂšs rĂ©servĂ© Merci de vous abonner pour consulter ce contenu AccĂ©der Ă  cet article juridique et aux modĂšles de contrats Remarque JavaScript est requis pour ce contenu. Abonnez-vous ici Ă  pour accĂ©der Ă  + 3 000 modĂšles de contrats, lettres types et formulaires lĂ©gaux et administratifs. AccĂšs rĂ©servĂ© Merci de vous abonner pour consulter ce contenu juridique.
Retrouvezle podcast de la villa des animateurs du 25 Janvier 2022 oĂč Cauet imite les animateurs radio et tĂ©lĂ© les plus cĂ©lĂšbres. Ecoutez vos sĂ©quences prĂ©fĂ©rĂ©es oĂč et quand vous le voulez, sans aucune limite sur NRJ.be.
Une chute mortelle au bassin des Aigrettes, Ă  Saint-Gilles, suivez le journal de 19h du mardi 25 janvier 2022, en direct puis en replay chapitrĂ©, prĂ©sentĂ© par Christelle Floricourt RĂ©union La 1Ăšre ‱ PubliĂ© le 25 janvier 2022 Ă  18h55, mis Ă  jour le 25 janvier 2022 Ă  19h43 Retrouvez en direct Ă  19h, puis en replay votre journal, prĂ©sentĂ© par Christelle Floricourt Au sommaire du journal Un homme est dĂ©cĂ©dĂ© aprĂšs une chute au bassin des Aigrettes Ă  Saint-Gilles. Un homme est dĂ©cĂ©dĂ© aprĂšs une chute au bassin des Aigrettes Ă  Saint-Gilles. Explications. Avec le retour en classe des marmailles, les autotests vont ĂȘtre pris d'assaut. Les pharmacies vont-elles pouvoir faire face Ă  la demande ? Avec le retour en classe des marmailles, les autotests vont ĂȘtre pris d'assaut. Les pharmacies vont-elles pouvoir faire face Ă  la demande ? Covid les chiffres explosent Covid les chiffres explosent Pr Flahault La RĂ©union a-t-elle atteint le pic Ă©pidĂ©mique ? Pr Flahault La RĂ©union a-t-elle atteint le pic Ă©pidĂ©mique ? Bras-Fusil inquiĂ©tude et ras-le-bol des habitants Bras-Fusil inquiĂ©tude et ras-le-bol des habitants Amina Djoumoi collectif RĂ©union-Mayotte non Ă  la stigmatisation ! Amina Djoumoi collectif RĂ©union-Mayotte non Ă  la stigmatisation ! Policier percutĂ© le chauffard activement recherchĂ© Policier percutĂ© le chauffard activement recherchĂ© Saint-Pierre la premiĂšre pĂ©piniĂšre dĂ©partementale Saint-Pierre la premiĂšre pĂ©piniĂšre dĂ©partementale Reportage au cƓur d'Ilet Ă  Cordes Ă  Cilaos, Ă  la rencontre de passionnĂ©s qui cultivent encore des variĂ©tĂ©s anciennes de haricots Reportage au cƓur d'Ilet Ă  Cordes Ă  Cilaos, Ă  la rencontre de passionnĂ©s qui cultivent encore des variĂ©tĂ©s anciennes de haricots Social malaise Ă  l'EPHAD Saint-François d'Assise Social malaise Ă  l'EPHAD Saint-François d'Assise Chaque jour, chaque Ă©dition, retrouvez vos journaux en direct sur ainsi que leur chapitrage en temps rĂ©el. Vous pouvez Ă©galement tĂ©lĂ©charger l'application la1ere, disponible sous iOS et sous Android, pour rester au contact de l'actualitĂ© et ne rien manquer
ParCharlotte Vardan Le 25 janvier 2022 Ă  07h24 Actu TV Alors qu'un numĂ©ro spĂ©cial d'Affaire conclue sera diffusĂ© mardi 25 janvier sur France 2, Sophie Davant a dĂ©voilĂ© les dessous de ce prime Affaire conclue» un ami de Caroline Margeridon intĂšgre l’équipe des acheteursCe lundi 9 mai, l’émission prĂ©sentĂ©e par Sophie Davant sur France 2 accueille un nouvel expert. Michel Bimier, antiquaire originaire de l’Eure et ami d’une acheteuse phare. ValĂ©rie Lemercier cite Affaire conclue» dans son discours des CĂ©sar, Sophie Davant lui rĂ©pondEN IMAGES - CĂ©sarisĂ©e pour son rĂŽle dans Aline, biopic sur la vie de CĂ©line Dion, la comĂ©dienne a fait allusion Ă  l’émission de l’aprĂšs-midi de France 2 pendant la 47e Ă©dition des CĂ©sar qui se tenait vendredi Ă  l’Olympia. Audiences Alex Hugo indĂ©trĂŽnable, Pour te retrouver essuie un Ă©checLes audiences du mardi 25 janvier 2022 pour les programmes diffusĂ©s en premiĂšre partie de soirĂ©e. Affaire conclue» voyage dans le temps avec une guitare de Johnny Hallyday aux enchĂšresFrance 2 propose un prime time inĂ©dit de l’émission Ă  succĂšs de Sophie Davant et invente des enchĂšres spatio-temporelles et costumĂ©es. Coup de froid pour le docteur Michel Cymes France 2 dĂ©programme l’émission Vitamine C»L’animateur voit son jeu mĂ©dical - jusqu’alors diffusĂ© le dimanche Ă  17h40 - supprimĂ© de la grille tĂ©lĂ©, faute d’audience. Le programme va ĂȘtre remplacĂ© par une rediffusion d’ Affaire conclue». AprĂšs 1557 Ă©missions», Julien Cohen annonce son dĂ©part d’Affaire conclue»L’acheteur quitte le programme prĂ©sentĂ© par Sophie Davant sur France 2. Koh-Lanta» quelle audience pour la finale du jeu d’aventures de TF1?Les audiences du mardi 14 dĂ©cembre 2021 pour les programmes diffusĂ©s en premiĂšre partie de soirĂ©e. J’en ai marre d’entendre ces gens critiquer la tĂ©lé» Guillaume Genton Ă©trille Sophie Davant dans Touche pas Ă  mon poste!»Le chroniqueur de Cyril Hanouna rĂ©agissait aux critiques formulĂ©es par l’animatrice de France 2 sur le monde de la petite lucarne, qui serait minĂ© par l’ego». Éric Zemmour est passionnant» Pierre-Jean Chalençon prĂ©sent au meeting du candidat Ă  l’élection prĂ©sidentielleVIDÉO - L’ancien acheteur d’Affaire conclue» sur France 2 a Ă©tĂ© vu ce dimanche au Parc des expositions de Villepinte Seine-Saint-Denis oĂč le candidat d’extrĂȘme droite tient son premier meeting. Pierre-Jean Chalençon se met Ă  la chanson, les internautes frĂ©missentVIDÉO - Pour inoculer le variant de la bonne humeur», l’ancien visage d’Affaire conclue» et dĂ©sormais chroniqueur aux Grosses TĂȘtes» a imaginĂ© une danse intitulĂ©e le Chalençon». Âmes sensibles... Sophie Davant Ce soir, on va battre des records!»FIGARO LIVE - Ce mardi 8 juin, l’animatrice s’invite en premiĂšre partie de soirĂ©e avec son magazine Affaire conclue». InvitĂ©e du Buzz TV», elle dĂ©voile le moment le plus fort de ce numĂ©ro. Euro 2020 il n’y a pas que le football dans la vie!Films, divertissement, concours, documentaire
 Pour ceux qui ne comptent pas suivre l’Euro, voici notre sĂ©lection des Ă©missions Ă  ne pas manquer. Qui est Aurore Morisse, nouvelle acheteuse d’Affaire conclue»?Mannequin et marchande d’art liĂ©geoise de 30 ans, Aurore Morisse a rejoint l’équipe des acheteurs d’Affaire conclue», prĂ©sentĂ©e par Sophie Davant sur France 2. GĂ©rald Watelet, Glorian Kabongo et StĂ©phane Vanhandenhoven ont dorĂ©navant une consƓur de caractĂšre. Pierre-Jean Chalençon, cet hurluberlu qui fait de l’humour» sur les ministres et les restaurants clandestinsLe collectionneur d’art est au coeur d’une polĂ©mique qui fait l’objet d’une enquĂȘte pĂ©nale. S’il a tracĂ© une carriĂšre Ă  la tĂ©lĂ©vision autour de sa passion pour l’Empereur NapolĂ©on, ses couacs Ă  rĂ©pĂ©tition l’ont dĂ©jĂ  poussĂ© hors de l’émission Affaire conclue». Pierre-Jean Chalençon a-t-il organisĂ© des soirĂ©es mondaines clandestines? Le collectionneur d’art nie et crie Ă  la calomnieEN IMAGES - L’ancien acheteur d’Affaire conclue» sur France 2 dĂ©ment avoir organisĂ© chez lui, au palais Vivienne Ă  Paris, des dĂźners clandestins. Pourtant les ressemblances sont frappantes. euros dĂ©robĂ©s chez Caroline Margeridon, une antiquaire mĂ©diatisĂ©eDans l'appartement parisien de cette experte en antiquitĂ©s dans Affaire conclue», l'Ă©mission Ă  succĂšs diffusĂ©e sur France 2, les voleurs ont fait main basse sur des bijoux, des montres, de la maroquinerie de luxe et de l'argent liquide. Jeux de sociĂ©tĂ©, jeux vidĂ©o, livres... Notre sĂ©lection culture et tĂ©lĂ© pour NoĂ«lQuand la tĂ©lĂ©vision et les grands hĂ©ros du monde de la culture se transposent en jeux de sociĂ©tĂ©, en livre ou en jeux vidĂ©o, ce sont autant d’idĂ©es de cadeaux pour les fĂȘtes de NoĂ«l. Affaire conclue» le record de la pire vente de l’émission battuAprĂšs la vente la plus Ă©levĂ©e de euros rĂ©alisĂ©e dans l’émission diffusĂ©e le 21 avril dernier sur France 2, c’est au tour de la transaction la moins coĂ»teuse d’ĂȘtre mise en lumiĂšre lundi. Affaire conclue» en mission pour le patrimoineSophie Davant et Harold Hessel s’installent dans les Grandes Écuries du chĂąteau de Chantilly pour une soirĂ©e patrimoine de prestige, mardi 15septembre Ă  21h05 sur France 2. François-Xavier Renou, nouvel acheteur dans Affaire conclue» PlutĂŽt mourir que de retourner dans “Koh-Lanta”»INTERVIEW - En 2002, le marchand d’art avait participĂ© au jeu d’aventure produit par ALP pour TF1. Partageant sa vie entre la France et l’IndonĂ©sie, il fait son retour Ă  la tĂ©lĂ©vision parmi les acheteurs du programme de France 2. Sophie Davant rĂ©agit au dĂ©part de Pierre-Jean Chalençon d’Affaire conclue» Il a trop parlĂ© sur les rĂ©seaux sociaux»InvitĂ©e de l’émission Culture MĂ©dias» mardi matin sur Europe 1, l’animatrice de France 2 s’est exprimĂ©e pour la premiĂšre fois sur l’éviction de son collaborateur. Les derniers Ă©carts du collectionneur d’Ɠuvres d’art auront Ă©tĂ© de trop. Affaire conclue» prend la clĂ© des champsQuatre acheteurs emblĂ©matiques du magazine prĂ©sentĂ© du lundi au vendredi Ă  16h15 sur France 2 par Sophie Davant chinent dans les brocantes du Perche et du Val de Loire pour Affaire conclue le duel des brocantes sur la route», diffusĂ© en prime time. Les explications brouillonnes de Pierre-Jean Chalençon sur son dĂ©part d’Affaire conclue»DECRYPTAGE - InvitĂ© dans Morandini Live» sur CNews ce jeudi, le collectionneur s’est exprimĂ© sur les diffĂ©rentes polĂ©miques liĂ©es Ă  son Ă©viction de l’émission de Sophie Davant sur France 2. Pierre-Jean Chalençon Ă©vincĂ© d’Affaire conclue»AprĂšs trois ans de collaboration, le collectionneur d’Ɠuvres d’art va quitter l’émission de Sophie Davant sur France 2. Affaire conclue» nouvelle vente record avec un buste de NapolĂ©onBien dĂ©cidĂ©e Ă  acquĂ©rir le buste en marbre de NapolĂ©on Ier, l’acheteuse Caroline Margeridon a fait monter les enchĂšres jusqu’à euros. Affaire conclue» Ă  la maison Ă  quoi ressemble la version confinĂ©e de l’émission de Sophie Davant?CRITIQUE - Depuis lundi, l’animatrice anime son programme Ă  succĂšs de France 2 depuis sa maison en Normandie. Entre longs silences et dĂ©calages sonores. France 2 lance lundi une version confinĂ©e d’Affaire conclue»Dans cette nouvelle formule diffusĂ©e chaque soir Ă  18 heures, Sophie Davant recevra en duplex deux vendeurs qui feront estimer leur objet par l’un des experts. Sophie Davant Je ressens une culpabilitĂ© Ă  ĂȘtre confinĂ©e»INTERVIEW - L’animatrice d’Affaire conclue» sur France 2 est confinĂ©e seule, ses enfants Ă©tant chez leur pĂšre. L’occasion pour dĂ©marrer l’écriture d’un nouveau livre. Affaire conclue» sur France 2 comment sont sĂ©lectionnĂ©s les objets ?DECRYPTAGE - Tous les aprĂšs-midi, l’émission de Sophie Davant prĂ©sente, sur la Deux, statues, tableaux, vases de maĂźtre verrier et autres en vue d’une mise aux enchĂšres. Pour cela, un casting d’objets est organisĂ© en amont. Explications. Audiences lancement dĂ©cevant pour Qui veut ĂȘtre mon associĂ©?» sur M6Les audiences du mardi 14 janvier 2020 pour les programmes diffusĂ©s en prime time. Audiences La Reine des neiges brille sur M6Les audiences du lundi 23 dĂ©cembre 2019 pour les programmes diffusĂ©s en prime time. Sophie Davant On adore exporter “Affaire conclue” en province»INTERVIEW - France 2 offre un nouveau prime time Ă  l’émission de vente aux enchĂšres animĂ©e par Sophie Davant. Sophie Davant Avec “La Lettre”, on m’a offert un Ă©crin sur mesure»France 2 propose une nouvelle Ă©mission en prime time qui rĂ©unit stars et anonymes. Une vente record en vue dans Affaire conclue sur France 2Jeudi 3 octobre, Ă  17h05 sur la Deux, l’émission, prĂ©sentĂ©e par Sophie Davant, va avoir l’honneur de prĂ©senter un lionceau en Bronze signĂ© Roger Godchaux. Affaire conclue cĂ©lĂšbre les 80 ans de BatmanSophie Davant consacrera le 20 septembre, sur France 2, une spĂ©ciale de son Ă©mission d’enchĂšres au super-hĂ©ros. Audiences Affaire conclue Ă  la peine en prime time sur France 2Les audiences du mardi 10 septembre 2019 pour les programmes diffusĂ©s en prime time. Sophie Davant Affaire conclueNous rendons hommage Ă  l’artisanat industriel français»INTERVIEW - L’animatrice cĂ©lĂšbre les JournĂ©es du patrimoine avec un prime time d’Affaire conclue sur France 2. Affaire conclue de retour en prime time sur France 2Sophie Davant sera aux commandes d’un numĂ©ro inĂ©dit de son Ă©mission d’enchĂšres, ce mardi 10 septembre sur France 2. Audiences lancement rĂ©ussi pour la sĂ©rie Mystery Road sur ArteLes audiences du jeudi 30 mai 2019 pour les programmes diffusĂ©s en premiĂšre partie de soirĂ©e. Affaire conclue dans les coulisses de la plus grande brocante de FranceCe jeudi soir, France 2 offre un nouveau prime time Ă  l’émission de Sophie Davant, qui se dĂ©roule Ă  L’Isle-sur-la-Sorgue avec Michel Drucker comme invitĂ© spĂ©cial. Sophie Davant Je ne pensais pas que France 2 allait supprimer C’est au programme»INTERVIEW - L’animatrice de France 2 perd le magazine matinal mais poursuit Affaire conclue au quotidien et propose un nouveau numĂ©ro en prime time. Affaire conclue de retour en prime time sur France 2Fort du succĂšs de sa quotidienne, diffusĂ©e Ă  16h15 sur la Deux, Sophie Davant voit son Ă©mission se dĂ©cliner une nouvelle fois en prime time. Affaire conclue Sophie Davant bat tous les recordsL’émission d’enchĂšres animĂ©e par l’une des figures star de France TĂ©lĂ©visions a dĂ©passĂ© les 2 millions de tĂ©lĂ©spectateurs. Une premiĂšre pour le programme lancĂ© en 2017. SpĂ©ciale Affaire conclue en familleL’émission de France 2, prĂ©sentĂ©e par Sophie Davant, se dĂ©cline avec une nouvelle formule. Les Reines des enchĂšres Cristina Cordula accusĂ©e de plagiat par un acheteur d’Affaire conclueSelon Pierre-Jean Chalençon, collectionneur d’art qui participe rĂ©guliĂšrement Ă  l’émission prĂ©sentĂ©e par Sophie Davant sur France 2, M6 manque d’inventivitĂ©. Affaire conclue, de record en recordLa folle ascension se poursuit pour Sophie Davant sur France 2 avec son Ă©mission d’enchĂšres. Affaire conclue Ă©mue, Sophie Davant rend hommage Ă  sa chienne disparueVIDÉO - Mardi, l’animatrice de France 2 a remerciĂ© ses fans pour les messages d’affection envoyĂ©s depuis la disparition de son animal de compagnie annoncĂ©e la semaine derniĂšre. Programme TV ce qu’il ne faut pas rater Ă  la tĂ©lĂ©vision du dimanche 9 au samedi 15 septembre 2018Chaque semaine, retrouvez les programmes phares sĂ©lectionnĂ©s par la rĂ©daction de TV Magazine. Sophie Davant J’ai retrouvĂ© une gaietĂ© que je n’avais plus»INTERVIEW - Sophie Davant fait sa rentrĂ©e sur France 2 avec la saison 2 d’Affaire conclue, diffusĂ©e du lundi au vendredi Ă  16 h 20 et 17 h 10. L’animatrice promet Ă  ses fans une montĂ©e en gamme et affirme avoir tournĂ© la page de Toute une histoire. Sophie Davant, Jean-Jacques Bourdin et Caroline Roux reprennent dĂšs cette semaineBourdin direct sur RMC et RMC DĂ©couverte, Affaire conclue sur France 2 et C dans l’air sur France 5 font leur retour deux semaines avant les autres. Les inĂ©dits d’Affaire Conclue reviennent dĂšs le lundi 20 aoĂ»t sur France 2L’émission d’enchĂšres devrait de nouveau assurer de trĂšs bonnes audiences Ă  la chaĂźne publique en fin d’aprĂšs-midi. Famille de brocanteurs TF1 lance son Ă©mission d’enchĂšres le 28 juilletTrois Ă©pisodes de cette nouvelle Ă©mission seront diffusĂ©s le samedi 28 juillet Ă  16h05. Sophie Davant au chĂąteau de Cheverny pour Affaire ConclueLes habitants de la rĂ©gion pourront venir faire expertiser gratuitement un objet. AprĂšs la fin de Toute une histoire, Sophie Davant a du mal» Ă  regarder l’émission de Faustine BollaertEn 2016, son programme testimonial de dĂ©but d’aprĂšs-midi sur France 2 s’était arrĂȘtĂ© pour laisser place Ă  Mille et une vies de FrĂ©dĂ©rice Lopez puis Ă  Ça commence aujourd’hui, toujours Ă  l’antenne. Audiences France 2 troisiĂšme avec Affaire conclue, l’Eurovision en hausseLes audiences du jeudi 10 mai 2018 pour les programmes diffusĂ©s en prime time. Programme TV du jeudi 10 mai 2018 ce qu’il faut regarder Ă  la tĂ©lĂ© ce soirUne Ă©mission d’enchĂšres avec Sophie Davant sur France 2, un film culte sur TF1 ou la demi-finale de l’Eurovision 2018 voici ce que vous conseille la rĂ©daction du Figaro. C’est pitoyable» Sophie Davant revient sur le dĂ©part d’Alain Laugier d’Affaire conclueL’animatrice de l’émission d’enchĂšres, qui est dĂ©clinĂ©e en prime ce jeudi 10 mai Ă  20 h 55 sur France 2, a Ă©voquĂ© le dĂ©part du brocanteur originaire du Gard. Affaire conclue diffusĂ©e en prime time sur France 2 le 10 maiL’émission de Sophie Davant sera pour la premiĂšre fois proposĂ©e en premiĂšre partie de soirĂ©e sur la Deux. Nelson Monfort et Gil Alma participeront Ă  cette soirĂ©e inĂ©dite. DaphnĂ© BĂŒrki, Faustine Bollaert et Sophie Davant les reines des aprĂšs-midi de France 2Les trois animatrices ont relancĂ© les aprĂšs-midi de la chaĂźne publique avec cette touche 100 % fĂ©minine. Audiences rentrĂ©e gagnante pour France 2 et BFMTVTÉLÉVISION - Le JT de 20 heures sur la Deux, avec Anne-Sophie Lapix, est Ă  la hausse. Sophie Davant Nous rĂ©flĂ©chissons Ă  un prime time d’Affaire conclue spĂ©cial cĂ©lĂ©britĂ©s»INTERVIEW / VIDÉO - L’animatrice tient les rĂȘnes de la nouvelle Ă©mission de vente aux enchĂšres chaque aprĂšs-midi sur France 2. InvitĂ©e du Buzz TV, elle en profite pour Ă©voquer ses projets. Sophie Davant Affaire conclue Je ne suis sĂ»re de rien»FRANCE 2 / 16H05 - Hier, Sophie Davant a lancĂ© Affaire conclue, un programme de vente aux enchĂšres diffusĂ© chaque aprĂšs-midi sur la chaĂźne publique. L’occasion pour la confidente du service public de revenir sur son arrivĂ©e aux commandes de ce magazine. Affaire conclue France 2 Sophie Davant Ă  16 heures dĂšs le 21 aoĂ»tTÉLÉVISION - L’actuelle prĂ©sentatrice de C’est au programme accompagnera des propriĂ©taires d’objets lors des Ă©tapes de vente de ces derniers. Sophie Davant se met aux enchĂšres sur France 2TÉLÉVISION - L’animatrice prĂ©sentera Ă  la rentrĂ©e Affaire conclue, un magazine quotidien diffusĂ© Ă  15 heures.
\n\n affaire conclue du 25 janvier 2022
bx3b63K.
  • qoz5lrz2xg.pages.dev/13
  • qoz5lrz2xg.pages.dev/13
  • qoz5lrz2xg.pages.dev/285
  • qoz5lrz2xg.pages.dev/27
  • qoz5lrz2xg.pages.dev/281
  • qoz5lrz2xg.pages.dev/294
  • qoz5lrz2xg.pages.dev/171
  • qoz5lrz2xg.pages.dev/62
  • affaire conclue du 25 janvier 2022